(SANITIZED)UNCLASSIFIED SOVIET BLOC PAPERS ON THE HISTORY OF SCIENCE AND EDUCATION, 1959(SANITIZED)

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Document Number (FOIA) /ESDN (CREST): 
CIA-RDP81-01043R004000220007-2
Release Decision: 
RIPPUB
Original Classification: 
S
Document Page Count: 
98
Document Creation Date: 
December 23, 2016
Document Release Date: 
June 12, 2014
Sequence Number: 
7
Case Number: 
Publication Date: 
December 11, 1959
Content Type: 
REPORT
File: 
AttachmentSize
PDF icon CIA-RDP81-01043R004000220007-2.pdf6.9 MB
Body: 
Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R 50X1 -HUM Next 84 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part- Sanitized Copy Ap roved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 I. I. ARTOBOLEVSKY (U.R.S.S.) ' 'smogs:gem* THE DEVELOPMENT OF THE THEORY 0 F MECHANISMS FOR. CHARTING ALGEBRAIC CURVES The earliest works in creating mechanisms for charting alge- braic curves were done by Leonardo da Vinci and Isaac Newton. In the second half of the 19th century, the French and British scientists, A. Poselier, H. Hart and A. B. Kempe, developed a theory for the synthesis of precise straight-line mechanisms em- ploying the principle of inversion. Kempe formulated and proved the theory of the possibility of charting an algebraic curve of any order by a kinematic chain formed solely from low pairs. J. Watt stated and P. L. Chebyshev solved the problem of synthesis of approximate straight-line mechanisms. P. L. Che- byshev also created the general theory of approximate mechani:STAT synthesis. The theory of algebraic charts of the linked point type was developed in the works of S. Roberts, L. Burmester, R. Muller, G. Leote, A. Raley, and others. The first conicograph type mechanisms for charting curves of the second order were developed 137 the late 19th and the 20th century Russian scientists, Boguslavsky, A. K. Vlasov, V. P. Ka- minsky, V. V. Dobrovolsky, and I. I. Artobolevsky, and the British scientist W. R. Crawford. The theory of ellipsograph, hyperbolograph, and parabolo graph type mechanisms was developed in works by bot12. Russian and foreign scientists. Various designs were offered by J. Kleiber, P. 0. Somov, N. B'. Delaunay, S. A. Gershgorin, V. Lebo and npriassifipci in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 -5 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 J. Neuberg, G. P. Vyatkin, V. V. Dobrovolsky, I. I. Artobo- levsky, and others. The theory of mechanisms for curves of the third and fourth orders was developed by employing different methods of their synthesis. V. V. Dobrovolsky suggested a method based on a Newton quadratic converter mechanism. For charting Pascal's helix, Dio- des cissoid, Sluss conchoid, Descartes folium, and other curves of the third and fourth orders, several scientists employed inver- sors of Poselier-Lipkin, Hart, Crawford, Artobolevsky, and others. Several curves of the same orders were achieved with mecha- nical transformers, which transform hyperbolic or antihyperbolic types, and conchoid or cissoid types. Besides, individual geome- trical and algebraic properties of third and fourth order curves were employed. Most important results were attained by the Soviet scientists G. L. Poly_novsky, V. V. Dobrovolsky, N. G. Bruyevich, N. A. Nikulin, S. A. Gershgorin, I. I. Artobolevsky, G. P. Vyatkin, and others. I. G. BACHMAKOVA (U.R.S.S.) .....1111.???????????fr DE L'HISTOIRE DES EQUATIONS ALGEBRIQUES r. On sait, que he theoreme fondamental d'algebre ne pent pas etre demontre sans les propositions de caractere topologique. Mais (RA an i8e si?e on a en l'idee de donner a ce theoreme une demonstration, laquelle s'appuyait sur un minimum de pro- ? . positions topologiques. La premiere demonstration de se genre fat proposee par L. Euler en 1751. Elle est d'un interet tout par- ticulier, parce que pour la developper Euler se servit des propo- sitions fondamentales de la theorie d'equations algebriques : une fonction rationelle des racines d'une equation algebrique y = (x1, x2, ..., xu), qui est susceptible de k valeurs differentes, quand on fait toutes les permutations possibles des racines, satisfait a une equation algebrique de degre k, dont les coefficients sont des fonc- 6 ? tions rationelles des coefficients d'equation donnee. En particu- lier, si I, la fonction y est une expression rationelle de coef- ficients de cette equation. Cs theoremes fondamentaux ont ete demontres pour la premiere fois par Lagrange en 1771. Maiiite- nant us font une partie indispensable de la theorie de Galois. 2. La demonstration d'Euler fftt developpee sans rigueur suffisante. Les demonstrations posterieures de Lagrange, Laplace et d'autres ne preseiitaient que des modifications et des simplifi- cations de la demonstration d'Euler. Toutes ces demonstrations avaient une lacune de haute importance, qui a ete remarquee seu- lement par le jeune Gauss. On supposait que tout polynome du degre n pouvait etre decompose en produit des facteurs lineaires : (x ? l(x ? az) (x ? a.) ou c, a2, ???, sont des symboles quelques, et ensuite on demontrait que tous les a sont des nom- bres reels ou imaginaires. C'est pourquoi les demonstrations ont an caractere conditionnel et le probleme, ainsi pose, rapelle le theoreme de Weierstrass-Frobenius. 3. Des nouvelles idees dans la demonstration du theoreme fondamental d'algebre etaient introduites par Carl Friedrich Gauss. Dans sa deuxieme demonstration de ce theoreme (1815) on peut trouver la construction du champ de decomposition du polynome quelque. Cela prouve que malgre la lacune, qui existait dans la conception d'Euler, sa demonstration ne contenait pas de cercle vicieux (la construction du champ de la decomposition ne dependant pas du theoreme fondamental d'algebre). Plus tard, L. Kronecker a developpe les idees de Gauss en les posant an fondement de sa construction des champs algebriques. STAT narla ifii=r1 in Part Sanitized Coov Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R STAT Next 2 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part- Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12: CIA-RDP81-01043R004000220007-2 L. J. BLACHER (U.R.S.S.) LES RELATIONS SCIENTIFIQUES DE A. KOWALEVSKY ET E. METSCHNIKOV AVEC DES SAVANTS ETRANGERS Le rapport, redige sur la base de documents inedits, met en lumiere les relations amicales et d'ordre professionnel qui ont existe entre A. Kowalevsky et A. F. Marion, ainsi qu'entre E. Metschnikov et N. Kleinenberg. L'auteur a mis a contribution la correspondance entre Marion et Kowalevsky (21 lettres), et entre Kleinenberg et Metschnikov (8 lettres), conservee aux Ar- chives de l'Academie des Sciences de l'URSS. Kowalevsky a maintes fois rendu visite au professeur Marion a Marseille; ce dernier a ete l'hOte de Kowalevsky a Odessa. Sur l'initiative de Marion, la municipalite de Marseille invita Kowa- levsky, en 1883, h la charge de professeur d'embryologie a l'Uni- versite de cette ville que l'on proposait de reorganiser. Cette reor- ganisation n'eut pas lieu. Dans les lettres de Marion a Kowalevsky ii etait question de leur collaboration dans les domaines de l'em- bryologie des Alcyonaires et de l'anatomie des Mollusques sole- nogastres. On trouve dans les gAnnales du Museum d'Histoire naturelle de Marseille) editees par Marion les plus importants travaux du savant frangais et les monographies de Kowalevsky sur l'embryologie des Mollusques amphineures et scaphodes. N. Kleinenberg, professeur de zoologie et d'embryologie Messine s'interessait vivement aux travaux de Metschnikov. Dans sa correspondance, Kleinenberg traita de divers problemes em- bryologiques se rapportant aux travaux de Metschnikov et aux siens propres sur le developpement des Annelides. Kleinenberg insista egalement sur la portee de la theorie phagocytaire de l'in- flamation formulee par Metschnikov. Kleinenberg predit un bri- llant avenir a cette theorie alors que nombre d'eminents patholo- gistes et bacteriologistes etaient sceptiques. Tout comme Kowa- levsky, Metschnikov et Marion, Kleinenberg etait un darwiniste convaincu. Ii ressort d'une de lettres qu'il connut personnelment Charles Darwin. 14 ? - im,,,ineeifiori in Part - Sanitized Com Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT Declassified in Part - Sanitized Cop Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 G. V. BYROV (U.R.S.S.) LETTRES ADRESSSES A. M. BOUTLEROV PAR LES CHIMISTES STRANGERS Dans les Archives de l'Academie des Sciences de l'U.R.S.S. (Leningrad) se trouvent pres de ioo lettres adressees a Boutlerov par 42 chimistes de pays differents, et 16 brouillons des reponses de ce savant a ses collegues de l'etranger. Parmi ces lettres: 12 sont de A. Wurtz (1859-1883), huit de E. Erlenmeyer (1862- 1876) ; d'autres sont signees par A. Baeyer, C. Laar, L. H. Van't Hoff, L. Meyer, R. W. Bunsen, A. W. Hofmann, C. Friedel, M. Berthelot et par 33 autres chimistes d'Allemagne, de France, ? STAT d'Angleterre, d'Autriche, etc. En general ces lettres traitent des recherches poursuivIes par leurs auteurs, ou bien elles renferment des observations sur les travaux theoretiques et experimentaux de Boutlerov et d'autres savants. Comme exemple on peut citer la lettre d'Erlenmeyer datee du 9 juin 1864, dans laquelle on trouve une analyse critique et nette caracterisant l'attitude des illustres chimistes de Pepoque envers les opinions de leurs confreres, ainsi que la lettre de C. Laar du 27 novembre 1885 sur la tautomerie. Ainsi, le recueil des lettres des chimistes &rangers adressees Boutlerov sont d'un grand interet pour l'histoire de la chimie et des relations scientifiques internationales. Par notre, breve communication nous avons voulu porter a la conaissance des savants qui s'occupent de l'histoire de la science l'existence de ces sources et contribuer a la mise au jour des lettres de A. M. Boutlerov aussi bien aue des autres chimistes russes qui pourraient se trouver dans des archives etrangeres ou dans des collections privees. STAT nprlaccifiPri in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R STAT Next 1 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 und verfasste wahrend der Expedition die Schriften (Die fliissige Diingung in England? und (Berichte fiber Japans Landwirt- schaft). Durch die Teilnahme von MARON an der Expedition sind positive Auswirkungen auf folgenden Gebieten nachzuweisen : i. Kritik an der in England besonders von MECHI angewen- deten afliissigen Dfingung)) und Empfehlung einer modi- fizierten Form der propagierten Methode zur Steigerung der Futtermassenproduktion in Deutschland. Vberaus positive Aufnahme der Beitrage durch LIEBIG. 2. FOrderung der Akklimatisationsversuche in Deutsch- land durch Vbersenden umfangreicher Samensammlun- gen von Kulturpflanzen (speziell Soja hispida) und Nutzbaumen (speziell Morus alba). 3. Aktivierung des Seidenbaues in Preussen durch das Stu- dium der chinesischen Produktion (cEin Ausflug in den Seiden-Distriktp in MARON, H., Japan und China. Berlin 1863) und Versenden von Bombyx-Eiern an anerkannte Seidenziichter. Auf Grund der Einsichtnahme in den aufgefundenen Brief- wechsel zwischen PtICKLER und MARON und in die Akten des landwirtschaftlichen Ministeriums wollen meine Untersuchungen einen Beitrag zur Geschichte der Landwirtschaft im 19. Jahrhun- dert geben. A. A. DOROGOV (U.R.S.S.) :7"tt THE DEVELOPMENT OF MACHINES IN HISTORY The development of machines is one of the chief problems in the history of technology. In order to solve it, we must first of all elucidate its qualitative nature. Through a concrete historical study and a general historical technical analysis of the implements of labour and their corres- ponding technical conceptions throughout their existance, we can 22 - establish three chief phases in the historical development of ma- chines : the energetic, technological, and communicative (regula- tive, integral) phases. Machines are viewed here in the broadesy historically changing meaning of the word, which appeared and was first defined in ancient society. In each of the phases, znaclzines are understood differently. The conception, changing qualitatively from one phase to the other, becomes ever more complicated and comPrehensive ordinar- ily lagging one phase behind in transition periods. Only one thing remains unaltered: the machine always to a more or lesser degree fulfils the functions of man's practical activities in influencing nature. In the first phase, the energetic phase, machines are the mechanical accumulators and transformers of labor; they are power devices (amplifying appliances) summing up man's muscu- lar effort and iencreasing its effectivity, thereby facilitating phy- sical (muscular) labor. This was the primary and for a long period the only function of the machine. In the second phase, the technological phase, machines are mechanisms (kinematic systems) with a power load, chiefly per- forming various technological operations, to a certain extent re. placing and improving skilful manual work. This phase, which was long in preparation, finally appeared during the industrial revolution of the late r8th and early 19th century. In the third phase, the communicative (regulative, integral) phase, which is only now beginning, machines are automatic, self- regulating devices, replacing also the operating and controlling functions of the human brain. In this phase, feed-back signals gain determinating significance. The working machine, or group of machines, and the regulating .device must be regarded jointly, as a single dynamic system, and the machine can no longer be considered purely mechanical. 23 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Co .y Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 CAROLYN EISELE-HALPERN (U.S.A.) POINCARt'S POSITIVISM IN THE LIGHr OF C.S. PEIRSE'S REALISM Among the unpublished manuscripts of C. S. Peirce at Har- vard University lie the fragments of a critical commentary on the scientific philosophy of Henri Poincare. The paper serves not only to reveal Peirce's position on certain philosophical and lo- gical questions but also to illuminate the numerous criticisms to which America's distinguished nineteenth-century philosopher qf science subjected, in his later years, certain aspects of Poincare's philosophical thought. An analysis of the contents brings into sharp focus Pierce's almost solitary stand among his scientific contemporaries as a modern Scotist in rebellion against the posi- tivist-nominalistic trends already shaping the outlines of scien- tific epistemology early in this century. For Peirce fought inces- santly against what Boltzmann called ethe impressionist school in physics. The manuscript clarifies to some extent Peirce's oppositicu to the elements of (convenience, and (convention, in Poincare's system, and, incidentally, to the (sensationalism, of Mach and Pearson. Despite his long experience as a practical scientist, Peirce remained always a scholastic realist. In this paper he utiliz- ed the consequences of the basic elements in his architectonic to justify his criticisms on logical, epistemological, and historical grounds. In other places he had discussed those elements at great length and two brief excerpts may serve to suggest his basic point of view. (I am a scholatisc realist .of an extreme type. I not only believe that Laws really are, but it seems to me evident that Laws really live and that they are the only things that do live, the only things whose being is complete., (I am very far from holding that experience is our only light... I should pronounce the known principles of physics to be but a development of original instinctive beliefs... Yet the whole history of thought shows that our instinctive beliefs.., can never be trusted till they have been corrected by experiment.s In his need of historical illustration to support such theses, 24 ? Peirce engaged in extensive historical research and, in his develop- ment of a logic of history, opposed once again the maxim of the positivists. N. A. FIGOUROVSKI (U.R.S.S.) LA DECOUVERTE DE LA LOI PtRIODIQUE PAR D. I. MENDELtEV Les 90 ans qui separent la decouverte de la loi periodique de nos jours n'ont pas suffi pour donner une histoire complete de cette decouverte et son appreciation historique correcte a tons les egards. Les preludes de cette decouverte remontent a l'epoque de la consolidation de 11 atomistique chimique. L'hypothese de Prout, les analogies de D5bereiner, de Dumas, Pettenhofer, et les tables de Newlands, Odling, Chancourtois et L. Meier anticipaient a certains egards l'idee d'une classification scientifique des elements chimiques. Neanmoins Mendeleev fit sa decouverte independem- ment des savants nommes. Des le debut de sa carriere scienti- fique ii etudia les rapports reciproques entre les proprietes de differentes combinaisions chimiques. L'occasion immediate de la decouverte se preta quand Mendeleev se mit a esquisser le plan d'un cours intitule (Fondements de la chimie,, qu'il projeta et commenca a rediger en 1868. A la difference de ses predecesseurs dont l'interet etait sor- tout fixe a l'observation d'une regularite des variations des poids atomiques dans les limites de certains groupes d'elements analo- gues, Mendeleev mit en rapport direct les proprietes chimiques des elements avec leurs poids atomiques, de sorte que sa table (datee du i mars 1869) eut une importance capitale malgre ses imperfections. De meme, a la difference de ses predecesseurs Men- deleev ne se contenta nullement de constater l'interet des rap- ports entre les elements qu'il avait mais au jour, mais en admet- tant toute une serie d'hypotheses en plus, il se prit a elaborer sur une large echelle la classification scientifique des elements. narlaccifiPri in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12: CIA-RDP81-01043R004000220007-2 lf Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Cela lui permit de preciser nettement des son premier memoire (1869) la signification de la table, ainsi que de formuler la Ioi periodique et en tirer des consequences de grande portee dans deux ecrits ulterieurs (1871). Ii faut absolument rejeter toute tentative de ne considerer la decouverte de Mendeleev que comme un resultat de pure con- jecture, d'intuition ou d' aillumination divinatoire en songe). Sa decouverte fut I replique d'un savant aux besoins ae la chimie pour laquelle Pachevement de la theorie atomo-moleculaire etait alors a l'ordre du jour. La decouverte de Mendeleev demontre done que les decouvertes scientifiques sont conditionnees non seu- lenient par les besoins de la production (ces besoins determinent revolution de la science en son entier), mals par les exigences de la science elle-meme. J. 0. FLECKENSTEIN (Suisse) A PROPOS D'UN TRAITE SUR UNE COMETE, ADMIS COMME DISPARU, DU PERE ANTHELME (1618-1683) Le traite du Pere Anthelme Charteux sur la grande comae de l'annee 168o, egalement decrite d'une maniere detaillee par Newton, et qui Pierre Humbert avait annonce comme disparu et probablement jamais publie, a ete deniche a Bale dans un manuscrit contenu dans le recueil K n VIII 16. Il s'agit la d'une traduction abregee en allemand d'un ami de jeunesse de Jacques I. Bernoulli, du Pasteur posterieur J. H. Gernler (1664-1747). II s'agit exactement du traite, qui a dti paraitre a Dijon en 1681 inspirant Jacques Bernoulli pour sa premiere publication aCona- men novi systematis cometarums (Amstelodami, 1682). La bi- bliotheque universitaire baloise possede du meme traducteur en- core un commentaire ?De cometas, ainsi qu'un aCatalogus on- nium cometarum ante & post Christi nativitatemp. 26 - A. GLODEN (Luxenbourg) LES PRECURSEURS DU CALCUL INFINITESIMAL DANS LES PAYS-BAS Vinvention du Calcul infinitesimal a ete preparee par les investigations de plusieurs equipes de savants employant chacune ses methodes propres. Nous nous proposons ici de mettre en relief les traits saillants de l'activite s'exercant sous ce rapport dans les Anciens Pays-Bas, Le chef inconste de Mcole Beige fut le jesuite Gregoire de Sant-Vincent. Apres que Simon $tevin, remplacant la methode d'exhaustion par une methode perfectionnee, eut fait un grand pas en avant vers l'elaboration du concept de limite, Gregoire de Saint-Vincent cree en Belgique une veritable Ecole de recherches infinitesimales, ne considerant pas des indivisibles sans epaisseur dans le sens de Cavalieri, mais des parties de la figure a evaluer dans le sens de Kepler. Sa methode d'exhaustion differe nettement de celle des Grecs. Un de ses eleves, le P. Della Faille s'est occupe de la determination des centres de gravit?Le P. Andr?acquet a, entre autres, developpe les ides de Gregoire de Saint-Vincent sur les limites. Rene Francois de Sluse est surtout connu pour sa methode de determination de la sous-tangente, en possession de laquelle ii semble avoir ete des 1652. Dans les Pays- Bas septentrionaux, John Hudde fit connaitre en 1659 une regle tout a fait analogue, et elle fut redecouverte quelques ann:ees plus .tard par Huyghens, qui, bien qu'il se soit tourne vers l'Analyse infinitesimale seulement au soir de sa vie, trouva des resultats remarquables. B. V. GNEDENKO (U.R.S.S.) asartsitiaararto- +wiz:a THE FORMATION OF MATHEMATICAL CONCEPTS A considerable number or scientists have in recent years been paying great attention to the rise and formation of mathematical concepts. Ideas are sometimes advanced that the properties of Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 - 27 911 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release mathematical concepts are arbitrarily ascribed, that they are simply rules for a sort of game, and that the axioms of mathe- matics are free creations of the human mind. This report shows by analysis of the historical development of the concepts of probability, functional space, and groups that such ideas have nothing in common with the actual state of af- fairs. Aristotle maintained that 'mathematical objects cannot be separated from things of the senses*, that the mathematician sub- jects to examination things attained by abstract means. He makes this examination by 'totally eliminating all sensual properties..., and preserves only, quantitative definiteness and continuity...* (Metaphysics, Book II). A correct understanding of the formation of concepts cannot be separated from a study of their historical development. This approach to the problem shows quite definitely that actually, ma- thematical concepts rise from independent concrete problems and imperfect ideas to logically improved formulations and more ge- neral conceptions. In his work, the mathematician cannot create new concepts as he wills, since he works within society and for society, preliminarily studying scientific treatises and manuals, learning of the problems which arise in various spheres of kno- wledge. All this taken together directs the investigator towards definite lines of study, and leads to the need for forming new concepts. A. T. GRIGORIAN (U.R.S.S.) LES TRAVAUX SUR LA XECANIOTJE NON-EUCLIDIENNE EN RUSS1E L'evolution de la geometrie non-euclidienne de Lobatchevski stimula la creation d'une mecanique non-euclidienne, c'est-a-dire d'une mecanique valable dans l'espace de Lobatchevski. Lobat- chevski lui-meme avait d? emis l'idee qu'en demontrant la corn- patibilite de la geometrie non-euclidienne et des principes de la mecanique, on pourrait ensuite decider, est-ce la geometrie eucli- 28 ? 50-Yr 2014/06/12 CIA-RDP81-01043R004000220007-2 dienne ou bien non-euclidienne qui correspond a la realite. Les premiers travaux consacres a la mecanique non-euclidienne out paru en 1869-1870 en Italie, en Belgique et en Allemagne. Le premier memoire a ce sujet paru en Russie fut celui de P. S. You- schkevitch (1892, publie en 1898) ; la composition des forces dans l'espace de Lobatchevski y fut traitee. Ce sont les travaux de A. P. Kotelnikov "La theorie projective des vecteurs s (1890) et aLa theorie des vecteurs et les nombres complexes* (publiei en 1950) qui contribuerent le plus au progras de la mecanique non-euclidienne. Cet auteur donna une definition des vecteurs et de l'addition des vecteurs valable pour tous les espaces non-eucli- diens, precisa l'equivalence des systems de vecteurs, en demon trant que tout systeme de vecteurs equivaut a un sistame acann- niqueD , compose de deux vecteurs dont la direction correspond a deux droites reciproquement polaires, et en trouvant la con- dition necessaire et suffisante de l'equivalence de deux systemes de vecteurs. Cette condition se reduit a l'egalite de. certaines grandeurs dependant des systemes de vecteurs, notamment des "dynamess qui sont en rapport direct avec les nombres complexes de differents genres. Kotelnikov avait elabore a fond l'algabre des dynames analogue a celle des vecteurs, ainsi que ses applications a la geometrie (surtout a la geometrie de lignes) et a la me- canique (theorie des integrales de dynames). En Europe Occi- dentale les memes idees furent emises par E. Studi ("Geometrie der Dynamens 1901), qui s'occupa surtout des aplications geome- triques de la theorie. La mecanique non-eudidienne fut elaboree ensuite en Russie par le grand savant N. E. Joukovski (1902) et par ses continuateurs immediats A. P. Kotelnikov-D. N. Sei- liger et P. A. Chirkov. Ce dernier donna en 1926 tine inter- pretation tres simple de la regle de la sommation des vecteurs dans les espaces non-euclidiens, decouverte par Kotelnikov. Parmi les recherches les plus recentes ii faudrait mentionner avant tout la generalisation de la mecanique non-euclidienne de Kotelnikov et sort application a l'espace de n dimensions (T. M. Klimanova te N. D. Pezko, 1957). n nIneeT ri .11 P rt - SanitizedC ADrroved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 CIA-RDP81-01043R004000220007-2 ? 29 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R Next 1 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Storia della Scienza, Florence. A present on 4 conaissance d'en- viron ioo globes de II? cm diametre an. monde. Une pair de 15 cm diametre est a Vienne. Les globes de Coronelli se trouvent dans les pays suivants : Allemagne (D.B.R. et D.D.R.), Autriche, Belgique, Espagne ( ?), Etats Unis, France, Grande Bretagne, Italie, Pologue, Portugal, Suisse, Tchecoslovaquie. OR nourrit l'esperance que les ?Globes de Marlys., 390 cm diametre, construit par Coronelli en 1684 par l'ordre du Roi Louis XIV, seront bientOt rendus accessible a Paa- miration publique a Versailles. La conference sera illuStree par vingt images de globes de Coronelli. MAYER R. HALEVY (Roumanie) LA SCIENCE CATALANE DU Xlle SIECLE COMME MATItRE DE POESIE ET DE PHII.OSOPHIE : IBN-ZABARRA COM1VIE TRAIT D'UNION ENTRE L'ORIENT ET L'OCCIDENT AfEDIVAUX A l'occasion du xvie emigres International d'Histoire de la Medecine (Montpellier, 22-28 septembre 1958), nous avons attire l'attention des historiens de l'Universite montpellieraine sur l'im- portance documentaire de l'oeuvre litteraire et scientifique du me- decin et poete Joseph ibn-Zabarra de Barcelone, pour l'etude des origines de l'enseignement medical dans le Languedoc mediter- raneen. Mais la riche matiere de ces ecrits hebreux offre un inter& non moins considerable au point de vue de l'histoire des sciences, en general. Car cette oeuvre que l'historiographie litteraire a me- connue jusqu'a sa mise en evidence para M. Steinschneider, et particulierement le roman satirique et probablement autobiogra- phique sous plus d'un rapport, le Safer Shaashm (aLivre des Divertissements)) traite non seulement de la medecine contempo- raine (seconde moitie du xne siecle), mais aussi de toute une serie de disciplines aristoteliciennes en relation avec les sciences natu- 34 - relies, avec l'anatomie, la physiologie, Phygiene, la physique, in biologie, sans parler de la philosophie et cela clans l'acception la plus large du terme. Cette matiere, dont I. Davidson a jadis analyse les elements folkloriques, les origines orientales plus ou moms anciennes, cons- titue dans son ensemble un temoignage qui depasse le cadre de l'historiographie litteraire proprement dite ; c'est un document peremptoire qui concerne en realite toute la pensee scientifique, c'est-a-dire le mouvement des idees et des connaissances acquises dans le domaine des sciences, bien avant l'eclosion universitaire en Occident, a la veille du grand si?e de la scolastique. En tout cas, le roman d'Ibn-Zabarra dresse en quelque sorte, sinon le bilan, du moms un inventaire anecdotique des disciplines en vogue, en marge de la medicine et de ses connaissances auxiliaires que l'auteur souniet a sa critique et dont il est partant : et juge, et temoin, et partie. L'oeuvre appartient, certes, a ce genre de litterature scienti- fique du moyen-age qui a eu son influence historique dans toute la pre-renaissance occidentale, et l'on pourrait en etablir les jalons depuis l'Orient et l'Espagne jusqu'a l'Histoire tu Docteur J. Faust) du si?e de la Reforme et a d'autres ahistoiresp, des sciences romancees. A. HAROUTIOUNIAN (U.R.S.S.) LA CHIMIE TECHNOLOGIQUE DANS L'ANCIENNE ARMENTE ET DANS L'ARMENIE DU MOYEN-AGE D'APR'ES LES DONNgES DES ANCIENS MANUSCRITS ARNIgNIENS ET LES MONUMENTS CULTURELS I. Les peuples caucasiens, de l'Asie-moyenne et particuliere- ment le peuple armenien, geographiquement situes au seuil de l'Europe out grace a leur progres dans la chimie technologique grandement contribue au developpement de la science mondiale. L'importance de l'etude de la chimie technologique de ces peuples sort du cadre purement national. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 - 35 z Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 . 2. L'etude des monuments historiques et de la litterature manuscrite armenienne du Moyen-fige, conservee dans les Ar- chives d'Etat des vieux manuscrits de la R. S. S. d'Armenie (Matenadaran), a donne la possibilite de decouvrir de nombreuses oeuvres scientifiques d'une grande richesse, se rapportant a la chimie technologique, a la medecine, la biologic et d'autres branches. 3. Les premieres sources, des sciences exactes remontent an veil' si?e et sont largement representees dans les travaux du grand savant armenien Anania Chirakatsi, en droit d'?e consi- dere comme le plus progressiste de son temps et dont l'influence a gagne les savants tels que Grigor Magistros, Hovhannes Sarka- vak (Xlerne si?e), qui avait adopte pour ses recherches le principe de l'experimentation et de l'observation. Ce meme Matenadaran renferme les nombreuses oeuvres de grands philosophes nomina- Estes comme Hovhannes Erznkatsi, Hovhannes Voronetsi (xlv6 si?e), naturaliste et pedagogue, fondateur de l'Universite de Tatev, l'un des plus grands centres culturels de l'epoque en Ar- menie, et Grigor Tatevatsi, disciple de cer dernier. 4- Lion trouve, dans les manuscrits armeniens, soit dans les4 trait d'alchimie, soit dans divers autres fragments scientifiques, l'enonce de nombreux preceptes et procedes de preparation des encres, des teintures minerales, vegetales et animales, comme par exemple, du avortan kannirs (cochenille), des alliages, des amal- games, des medicaments, des parchemins et du papier, de la decoloration des huiles et de la cire, ainsi que la description des appareils chimiques. Ces connaissances out aide an developpement ulterieur des metiers dans l'Armenie feodale. 5. Das la fin du xlv'me si?e, apras la chute de l'Etat arm& nien il n'y eut plus en Armenie de conditions favorables de developpement pour la chimie technologique et la chile en gene- ral. En raison de ces conditions, l'Annenie suivit apras la Renais- sance, une toute autre voie de developpement que celle suivie par la Russie et l'Europe occidentale. La science moderne en Armenie n'a regu un veritable essor que durant ces quarante dernieres an- flees sous le regime sovietique et ce n'est qu'aujourd'hui que s'offrent les veritables tnoyens d'etudier le riche heritage scienti- fique et culturel du peuple armenien. 36 ? MOHAMED YAHIA HASCHIVII (R.A.U.) DIE ANFANGE DER ARABISCHEN ALCHEMIE Die Anfange der arabischen Alchemie liegen im dunkeln. Dieser Schleier hat noch kein Forscher geliiftet. J. Ruska und P. Kraus betrachteten die Beziehung zwischen Dschat far al-Sadiq und Dschabir ibn Hayyan, die im vm. Jahrhundert sein soil, als eine spatere Falschung. Verschiedene tberlieferungen zeigen aber, dass in derselben Jahrhundert im arabischen Kulturkreis? Alchemie auftaucht. Die Wiederlegung der Alchemie von Al- Kindi im ix. Jahrhundert verrat uns, dass die Probleme der Alchemie viel friiher existierten als man bis jetzt angenommen hat. Der bekannte Naturphilosoph, Literat und Polyhistor Al- Dschahiz, der ebenfalls im LX. Jahrhundert gelebt hat, weist auf einen Alchemist Abu Hakim hin, der zur Zeit von Harun Al-Ras- chid, also auch im viii. Jahrhundert gelebt hat. Derselbe Natur- philosoph fart Gedichte von Safoan an, die zur selben Periale entstandensen mogen. Der Dichter fiihrt Mineralien an, die man sic bei den alchemistischen Literatur findet. Wenn man auch das Buch des Krates, welches nach der Untersuchung der Forscher, das Befehlen seiner tbersetzung dem Omayyaden Ffirsten Khalid ibn Yazid, der im vii. Jahrhunde4 gelebt hat, zu geschrieben sein soll ; die Moglichkeit ist auch vorhanden, dass das erwahnte Buch in arabischer Fassung eine spatere Jahrhundert entstanden sein kann. Diese Argumente zeigen, dass die alchemistische Literatur im vim Jahrhundert in der arabischen tberlieferung zum Tages Licht tritt. Deshalb ist es nicht ausgeschlossen, em n Alchemist mit Namen Dschabir ibn Hayyan zu der erwahnten Zeit gelebt sein kann. Nur die ursprungliche Fassung seiner Schriften blei- ben unaufgeschlossen. Die jetzige in verschiedene Bibliotheken aufbewahrende Dschabir-Handschriften enthalten unbedingt einc spatere Umformung und Zufiigung. Paralelle Tendenz, kann man vie fiblich bei meisten Abschreiben, in den lateinischen Geber- Handschriften feststellen. Solche Schriften, seien in arabischen oder in lateinischen, bedfirfen alle grundliche Untersuchungen und Herausgaben. Verschiedene Zitate von Dscha`far al-Sadiq in den Schriften Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 - 37 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R Next 1 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT p- Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 but, as A. N. Whitehead said, "a principle, a procedure, and an explanation'. Accordingly, the commentaries on the historical origins of the Theory of Relativity have tended to fall into two classes : the one views it as a mutant, a sharp break with respect to the work of the immediate predecessors of Einstein ; the other regards it as an elaboration of then current work, e. g. by Lorentz, Poincare, and von Lame. Each interpretation has distinguished proponents ? for example, in one case Einstein's own comments, and in the other case Whittaker's analysis. This paper examines the case for each side, and undertakes to show that a key to the Einsteinian innovation lies in the super- position of both views, namely in seeing the discontinuity of phi- losophic orientation within an historically continuous scientific development. WLODZIMIERZ HUBICKI (Polen) CHEMISCHE ANALYSE IM 16. JAHRHUNDERT IN POLEN An Hand von Biichern und Handschriften aus dem 16. Jahr- hundert beschreibt der Verfasser einige analytische Methoden, der man sich in dieser Zeit bediente. Chemische Analysen wurden damals in Witten, Miinzen und Bergwerklaboratorien durchge- fart. Diese Analysen hatten nicht nur qualitativen, sondern auch quantitativen Charakter. Zu Beginn des 16. Jahrhunderts entwic- kelte sich in Polen, wie auch in ganz Europa, sehr stark das Berg- und Hiittenwesen. Dies war auch die Ursache, dass man der chemischen Analyse grosstes Interesse schenkte und die Not- wendigkeit ihrer Vervollkommung sah. linter den Spezialisten dieser Zeit in Polen steht an der Spitze der Krakauer Burger Kasper Ber mit seinen Schulern. *Ober den Stand der damaligen chemischen Analysen in Polen geben am besten Aufschluss die bis auf heut erhaltene Sammlung von 170 Legierungen und sie betreffende analytische Atteste. Diese Proben und Atteste stammen aus den Oreissiger Jahren des 42 - weaer. x6. Jahrhunderts. Es stellt sich heraus, dass die Ergebnisse der damals mit primitiven Methoden durchgefiihrten Analysen manch- mal eine bewundernswerte tbereinstimmung zeigen, mit Ergeb- nissen, die mit den heutigen Methoden erreicht werden. Die Obereinstimmung der vor fast 400 Jahren erhaltenen Ergebnisse mit den heutigen geht bis zu 0,01 %. Die Beschreibungen von Waagen und die bei den Analysen zu beachtenden Vorschriften, die Agricola, Ercker, Schreittmann u. a. angegeben haben, ers- cheinen als nicht Ubertrieben. Die vom Verfasser entdeckten Atteste aus dem 16. Jahrhun- dert und ihre festgestellte Glaubwiirdigkeit sprechen daf?r, dass die chemische Analyse im 16. Jahrhundert em n viel hOheres Niveau hatte, als allgemein angenommen wird. Mit Rucksicht darauf 1st die Meinung vieler Historiker der Chemie, dass der Glaube an die Transmutation der Metalle in der PrimitiVitat der Methoden der Bestimmung von Edelmetallen seinen Grund habe, nicht aufrechtzuerhalten. WLODZIMIERZ HUBICKI (Polen) RUDOLF II UND DIE ALCHEMISTEN Die F6rderung, die den Naturwissenschaften, in Besondern der Chemie am Hofe Rudolfs II. zu Teil wurde, ist bisher viel zu wenig beachtet worden. Die bisherigen Arbeiten stellen nur fest, dass der Prager Hof dieses Herrschers, wie auch die Stadt Prag in dieser Zeit nur em n vorfibergehender Aufenthaltsort vor- schiedener Goldmacher waren. Der Verfasser, sich auf Archivrna- terial und Handschriften der osterreichischen, deutschen und tsehechoslovakischen Bibliotheken, ferner auf Drucke um die Wende des 16. Jahrhunderts stiitzend beweist, dass dieses Urteil einseitig und unrecht 1st. Ausser dem Suchen nach dem Stein der Weisen beschaftigte man sich im Laboratorium Rudolfs II. mit redlicher Chemie. Es zeugen davon manche vom Rudolf II. erteil- ten aPatente", Heilmittel, die dort verfertigt wurden und viele andere chemische Praparate. Das Interesse, das dieser Herrscher Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 - 43 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 time ago, as late as the beginning of the x9th century, seamen struggled with most elementary problems of geographic location. It was primarily geographic longitude that offered enormous obstacles. Unlike geographic latitude, the problem of longitude seemed to yield no direct observational method leading toward the deter- mination of a ship's location anywhere at sea, out of sight of land. Longitude finding actually became an international problem, a matter of competition between existing colonial empires, as are atomic energy and jet propulsion today. By 1675, the need for longitude became the primary reason for the foundation of the Paris and Greenwich Observatories. Various methods were feve- rishly suggested and investigated as ships and men continued to be lost at a portentous rate even until the first part or the x8th cen- tury. When a navigational error in 1707 brought an entire British fleet, homeward bound from a victorious campaign, to a naval disaster at Scilly Islands, in which the commander of the Royal Navy, Sir Claudesley Shovel, and 2,000 men perished, the British Parliament set up a public award of 20,000 pounds sterling to be paid to anyone who would ?discover longitude). While the established Board of Longitude with Astronomer Royal Maskelyne persistently favored such purely astronomical methods as the lunars or observation of Jupiter's satellites, it was destined that the discovery of a chronometer by the humble car- penter, Harrison, should introduce a method,,which with an im- proved timekeeper, is used until today. D. D. IVANENKO (U.R.S.S.) an.1/4-sr1/4'0av.low HISTORY OF UNIFIED PHYSICAL', PICTURES OF MATTER Attempts of unified description started from conceptions of Ancient times on a single or few elements underlying structure of matter to a maximally disrupted picture of i8-th and begin- ning of 19-th centuries of unconnected chemical elements, aether 46 ? and other fluids. But the motion and interaction were described by means of unified classical mechanics. Though the decision of controversy of 18-th century is in favour of newtonian conceptions, legitimate in non-relativistic, non-quantum, weak gravitation ap- proximation, but cartesiean ideas of some intermediate afield' and whirling-character of primordial elements proved later to posses many elements of truth. The hope was expressed to understand on mechanical basis aether and atoms. r9-th century started great unification with energy law, statistical treatment of heat, Men- aeleev's periodic system. Discovery of electromagnetic field as a first new form of matter deprived of rest-mass, and successes of electrodynamics and relativity, which connected space-time, electric-magnetic fields, massenergy, proved impossibility of mechanical picture and led at beginning of 2o-th century to attempt of building an universal electromagnetic picture, with a hope of reducing charges to sin- gular points or bunches of non-linearly generalized field (Mie, Born-Infeld, 1912-34). But the discovery of neutral particles and impossibility of accounting gravitation proved the unsufficiency of such scheme. Successes of non-linear general theory of relativity of Einstein (1916), which connected gravitation with curvature of space-time produced by matter, permitted derivation of equations of motion from field equations and led to cosmological model of expanding universe (Friedman, 1923) led to attempts of unified geometrized theory, explaining gravitation, electromagnetism, mesodynamics (Weyl, Einstein, Eddington, al. from 1918). But the impossibility of accounting quantum atomic phenomena has shown shortcomings of such picture. Discovery of many elementary particles stimulates now at- tempts of building a quantum relativistic unified theory of matter taking most probably for a fundamental element a spinor (dwhir- ling))) nonlinear field interacting with itself and leading to partic- les as excited states. This program developed by de Broglie (fusion), Sakata (composite model), Heisenberg and soviet authors, which led to some interesting results, has its roots in previous attempts of electromagnetic and geometric unified theories and even in models of mhirling) atoms and aether of Kelvin and Helmholtz, not going far back to cartesian pictures. May we hope that modern unified picture required by scien- - 47 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release . 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 A. F. KAPUSTINSKY (U.R.S.S.) .........roir..?110, ABOUT DISCOVERIES OF 1HE MAIN LAW/ OF THERMOCHEMISTRY AND A CORRELATION BET'WEEN CHEMICAL AFFINITY AND HEAT OF REACTION 1. One of the important lines of Congress activity is dis- cussion ? on the basis of consequent documents ? a real histo- rical perpetuation mostly important achievements of World $cien- ce. To the above mentiones, in History of chemistry, belongs discoveries of law of constancy of sums of heat and use of heat of reaction as a quantitative measure of chemical affinity. Up to date generally accepted by chemists is to connect first achievement with the name of Hess (1840) and second with the names of Thom- sen (1854) and Berthelot (1867). 2. Academy of Sciences of USSR edited (1959) in russian collected papers of Hess in thermochemistry and permits by this action a new possibility for more exact discussion than formerly the questions about the contributions made by this author into physical chemistry. Ostwald who in (Klassikers (N 9) popularis- ed the Hess law of thermochemistry paid no attention on the paper (1836) in which Hess published tre first formulation of independence the heat of reaction from path of reaction. Conse- quently the real data of announcing of the law is 1836. The paper of 1840 includes experimental verifications of this already known law of nature. 3. The measuring of chemical affinity by thermochemistry announced by Hess as early as in 1839, in 1842 formulated in completely exact form: a quantity of developed heat is a measure of chemical affinity. Much later (decades) Thomsen and Berthelot developed and experimentally proved this well known generali- sation. 48 - STAT STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 C. C..KHRENOV N. N. BENARDOS, INVENTEUR RUSSE A BARCELONE Nikolai Nicolaevitch Benardos (1842-1905), chercheur russe, auteur de plus de cent inventions dans les branches le plus diverses de la technique, compte parmi les techniciens les plus eminents de la fin du xIx? et du debut du xx? siecles. Il est universellement connu par son invention des procedes electriques de soudage et de coupage des metaux a l'arc (d'apres la formule de l'auteur : ?aprocede a joindre et a separer les metaux par l'action directe d'un courant electriqueD). Malheuresement, N. N. Benardos ecrivait peu ; la majeure partie de ses documents personnels fut detruite par un incendie ; ce qui reste est conserve maintenant a l'Academie des Sciences de l'URSS. Ainsi, l'histoire des inventions de Benardos, comme sa biographie, n'ont Pu etre mises a jour qu'incompletement. Dans les annees 70 et au debut des annees 8o du si?e passe Benardos voyageait beaucoup notamment en Allemagne, en France, en An- gleterre et en Espagne en vue d'y trouver des conditions plus favorable a la realisation de ses projets. En 1882, lorsqu'il etait en Espagne, il fit un sejour assez prolonge a Barcelone. A cette ?que ii travailla activement a la creation des accumulateurs au plomb d'un type nouveau. Durant toute sa vie, d'ailleurs, ii s'etait penche sur les problemes de perfectionnement des accumulateurs et son empoisonnement par le plomb au cours de ces travaux a rgpproche sa mort. Les elements des accumulateurs systeme constitues par un cadre en plomb venant de fonderie sur lequel etaient fixees des lames en feuille de plomb. A Barcelone Benardos recut une com- mande pour une importante batterie d'accumulateurs de son sys- teme et c'est ici qu'il eut l'idee de fixer les lames de plomb an cadre, ainsi que de joindre les elements entre eux par soude l'arc suivant ale proc? Benardosp, les courants de faible inten- site etant suffisants vu la fusibilite de plomb et sa faible con- ductibilite calorifique. Ayant reussi le soudage des lames de plomb, et en perfec- tionnant toujours d'avantage sa methode, Benardos arriva a pre- 50 - senter son invention en 1884 en lui donnant une forme technique accomplie en tant que proc? universel brevete dans de nom- breux pays pour le soudage et le coupage de tous metaux. Ii serait tres interessant de retrouver dans les documents des archives de Barcelone, relatifs a l'annee 1882, des renseignements sur le sejour de Benardos dans cette yule ainsi que sur la batterie d'accumulateurs de sa construction. ? A. KH. KHRGUIAN (U.R.S.S.) L'ETUDE DE L'ATMOSPHERE LIBRE ET SON EVOLUTION HISTORIOUE L'etude des proprietes physiques de l'atmosphere libre se poursuit durant deux siecles ce qui a contribue a preparer pour une grande part l'enorme progres accompli actuellement dans ce domaine. Elle fut commencee par les experiences de Franklin avec les cerfs-volants et les observations aerostatiques realisees vers la fin du xvm? et au xrx? siecles qui determinerent la me- thode de base appliquees en aerologie ; c'est grace a ces expe- riences que furent obtenus les premiers renseignements sur les temperatures, les vents, les nuages, etc., dans les couches sup& rieures. Les observations en haute montagne appelees a les com- pleter, avaient l'avantage d'?e plus systematiques, mais le defaut d'?e considerablement influencees par la surface terrestre. Une nouvelle ?que dans l'etude des couches superieures de l'atmosphere sans observateur commenca en 1930 avec l'appli- cation de la methode des radio-sondes communicant a la Terre tons les resultats des observations par T. S. F. Grace a cette methode on a pu recueillir systematiquement des observations sur le climat de l'atmosphere libre, etc. Ces avantages son large- ment utilises dans les plus recentes methodes de sondage par fusee (1946) qui permettent d? d'atteindre des altitudes de 470 km. Mais la methode de sondage par fusee exige une prise en compte meticuieuse des corrections necessitees par l'influence du corps de la fusee et de son mouvement ; la necessite d'intro- - Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 duire ces corrections fut prouvee au cours des essais anterieurs effectues a partir d'aerostats et d'avions. Les observations recueil- lies grace au sondabe par fusee ont permis d'elargir considera- blement nos connaissances sur la structure, les temperatures, la composition, la ionisation, etc., des couches superieures, de l'at- mosphare et sur l'influence qu'exercent sur celle ci les radiations solaires et cosmiques. Le developpement colossal des methodes d'etude de l'atmosphare rendu possible par le sondage par fusee, est la base sur la longue evolution des idees engendrees il y a fort longtemps. 9 ERNEST KOLMAN (U.R.S.S.) SIONO26,2141Matkai LE DEVELOPPEMENT DE LA CYBERNETIQUE La cybernetique, en tout que science qui etudie les systames de self-government, est n?du developpement de la technique. Par les valeurs extremes de ses paramatres qui depassent les diapasons de nos sens, ce developpement a exige le reglage auto- matique des procedes techniques. La possibilite de modeler par des machines cybernetiques les fonctions 'regulatrices des orga- nismes fondee sur l'unite de la nature, consistant dans la mate- rialite de cette derniare. En se developpant, la theorie cyberne- tique exerce a son tour une ?influence feconde sur son appareil mathematique et logique et sur sa base physicotechnique et phy- siologique. Das son apparition, la cybernetiques a eu aussi des adep- tes passionnes a l'exces que des adversaires acharnes. En fait, bien que la machine cybernetique ne soit pas un ocerveau elec- troniqueD, quoiqu'elle ne pense pas, mais realise des operations auxiliares qui ne sont interpretees comme notions que par l'hom- me, la portee philosophique de la cybernetique est certainement progressive. En ouvrant de larges possibilite:s a l'automatisation du travail manuel et intellectuel, la cybernetique joue un role dominant a l'epoque d'une nouvelle revolution industrielle qui s'ouvre a l'hu- 52 ? manite. Cependant, la realisation fles possibilites qu'apporte la cybernetique a la societe depend du caractere de l'organisation de la societe-meme. I. Y. KONFEDERATOV and N. M. RASKIN (U.R.S.S.) samega.c..00 THE STORY OF THE INTERNAL COMBUSTION ENGINE. (FROM THE ARCHIVES OF THE URSS ACADEMY OF SCIENCES) The Archives of the USSR Academy of Sciences contain an extensive collection of documents from the family papers of the inventors of photography, the Frenchmen Claude and Nicephore Niepce. These documents were given by Nicephore Niepce's son Isidore to the St. Petersburg academician, I. Kh. Gamel, in 185o, for use in writing the story of the discovery of photography. Among the documents, there is a group of materials which shed light on the Niepce brothers' work in creating one of the first designs for an internal combustion engine, which they called the pyreolophorep. The Niepce brothers' pyreolophore, which they patented in France in 1807, was to have operated on an atomized fuel, a mix- ture of coal and resin. It received favorable comment by the dis- tinguished French scientists C. L. Berthollet and L. Carnot, who reported about it to the Institute on Dec. 15, 18?6. L. Carnot's son, S. Carnot, criticized the basic principle of the Niepce machine in his well-known book, ?Reflexions sur la force motrice du feu et sur les machines a developer cette puis- sance par S. Carnot, ancien eleve de l'Ecole PolytechniqueD (Pa ris, 1824) ; he quite clearly indicated the basic principle of the Diesel engine. It is also important to note that R.. Diesel, too, in his work on his engine began with attempts to create a machine to work on an atomized fuel, coal powder. ? 53 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 M. G. KOROLEVA (U.R.S.S.) APERcU HISTORIQUE SUR LES PHARMACIES DE MOSCOU (AVANT 1917) 1. Les pharmacies de la ville de Moscou evolueent, a diffe- rentes ?ques historiques, en etroite liaison avec le developpe- ment des rapports sociaux et economiques dans le pays. Les predecesseurs des apothicaireries russes furent les dro? gueries et les boutiques de philtres largement repandues en Mos- covie aux xve-xvne siecles et qui s'occupaient de la preparation et de la vente des medicaments a la population. 2. Au xvie si?e a Moscou existaient un Departement (Prikaz) pharmaceutique et une apothicairerie deservant sourtout la famille du tzar et les boyards. 3. La premiere apothicairerie d'tat vendant librement les medicaments a la population fut instituee par l'oukaz du 20 mars 1672 qui fixa la premiere taxe sur les medicaments. 4. La reforme de Pierre I concernant le systeme des phar- macies se rapporte au debut du xvin? si?e; elle contribua a l'extension du reseau des pharmacies de la ville de Moscou qui out joue un role important dans le developpement de la pharma- ceutique et de la chimie en Russie. C'est dans les pharmacies qu'on effectuait les analyses non seulement des preparations me- dicales mais aussi des produits industriels, en particulier des mi- nerais. On outre les pharmacies de Moscou etaient chargees d'en- seigner l'art de preparer les medicaments et de cultiver les plantes medicales. 5. Au cours de la premiere moitie du xne si?e les phar- macies de Moscou, en abandonnant leur fonctions scientifiques, se transformerent en institutions commerciales. Apres l'abolition du regime de servage l'industrie se developpa a un rythme ac- ceere. Moscou clevint un important centre industriel. La popu- lation de Moscou augmenta, les banlieues se peuplerent, tandis que les pharmacies restaient groupees comme par le passe au cen- tre de la ville, dans les quartiers habites par les classes possedan- tes. Dans la banlieue ouvriere ii n'y avait presque pas de phar- macies malgre le grand besoin qui s'y faisait sentir. Vers 186o les milieux progressifs firent la premiere tentative de protester 54 ? ? au nom de la Societe des Medecins de Moscou contre ce privilege. 6. A la fin du xix? et au debut du xx? siecles les pharma- cies en perdant peu a peu leur fonctions productives deviennent des etablissements comerciaux par excellence. 7. Au cours de la premiere guerre mondiale les pharmacies qui etaient des entreprises commeFciales privees furent incapables de resoudre le probleme de l'approvisionnement de l'armee et du pays en medicaments. Une reconstruction fondamentale a l'echelle nationale s'imposuit ; elle fut accomplie apres la Grande revolu- tion socialiste d'octobre. KH. S. KOSHTOYANTS (U.R.S.S.) THE STORY OF MODERN METHODS OF RESEARCH INTO THE FUNCTIONS OF THE SECTIONS OF THE BRAIN In my report to the VIII International Congress on the History of Science in 1956, I presented data indicating that simultaneously and independently of the publication of the classical work by G. Fritzsch and E. Hitzig (1870), the laboratory of I. M. Sechenov produced a work clearly pointing out that motor effects can be caused in amphibians by electrical irritation of the cerebral hemis- pheres. This work was published in 1870 by A. I. Tishetsky. It should be noted that still earlier, another pupil in I. M. Se- chenov's laboratory, L. Simonov, conducted experiments in the effect of electrical current on the brain of a dog, which led to results of very great importance in the history of modern methods of research into the functions of the brain. As is known, among these methods, special attention is paid to that of accustoming the brain to electrodes, and that of electrolytic injury or exclusion of isolated points in the brain. Attentive study of Simonov's work, published in 1866 both in Russian and in German, shows that these two methods of current physiology were first described, founded, and employed by Simonov over zo years before other investigators. ? 55 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 The method of electrolytic injury discovered by Simonov did not evoke any response in the first few decades, and it was redis- covered by Russian scientists at the end of the last century. The method of electrolytic injury with subsequent physiolo- gical observations and histological control was aescribed and ap- plied in the laboratory_ at the neurological clinic of V. Bekhterev. Clarke and Horsley, who introduced the method in modern physiology, gave a brief historical review of its development in their first description of it. Their review contains references to the research conducted in St. Petersburg, Russia, but, as they indicate, the relevant materials were unavailable to them. P. S. KOUDRIAVTSEV (U.R.S.S.) LES TRAITES PRINCIPAUX DU DtVELOPPEMENT DES SCIENCES PHYSIQUES EN RUSSIE AU COURS DU DERNIER TIERS DU XIXe ST ECLE L'essor general des sciences naturelles en Russie, qui corn- menca dans les annees 6o se manifesta par l'accroissement de l'activite scientifique des Universites, par la creation des societes scientifiques et la naissance des ecoles scientifiques. Des pheno- menes analogues furent observes a l'Occident. Le developpement des sciences physiques en Russie dans le dernier tiers du xix` si?e fut avant tout lie a l'activite de l'ecole moscovite de physi- ciens avec A. G. Stoletov (1839-1895), professeur a l'Universite de Moscou, a la tete; a celle de la ?Societe physico-chimique russe, avec D. I. Mendeleev (1834-1907) et F. F. Petrouchevski (1828- 1904). En 1865 Petrouchevski organisa a l'Universite de Peters- bourg le premier laboratoire physique d'enseignement en Russie; c'est a Stoletov que revient le merite d'avoir fonde le premier laboratoire physique de recherches a l'Universite de Moscou (1872). A partir de 1873 parait la cRevue de la Societe physico- chimique russe, partie Physique,. Les physiciens russes travail- lerent activement aux problemes de l'electrodynamique maxwel- lienne et a la theorie electromagnetique de la lumiere, contribuant 56 ? largement au progres de cette branche de la science physique. En meme temps on note le travail fecond des electriciens russes dans le domaine des applications fie l'energie electrique et de la radiotechnique. En matiere de physique moleculaire la contribu? tion apportee par les phisiciens russes dans l'etude de l'etat critique est importante (Mendeleev, Avenarius, Galitzyne et autres). Le role des savants russes est particulierement evident dans le deve- loppement des branches de la science physique qui devait trouver leur epanouiss_ement flans l'avenir : decouverte de la loi perio- dique par D I. Mendeleev (1869), creation de la theorie sur le mouvement de l'energie par N. A. Oumov (1873), elaboration du probleme de l'etude du corps noir (V. A. Michelson et B. B. Ga- litzyne) ; etude de l'effet photoelectrique (A. G. Stoletov, i888- 1889); elaboration des problemes : du reglage automatique (I. A. Vychnegrandski), de la stabilite du mouvement (A. M. Lia- pounov), du mouvement de reaction (C. E. Tsiolkovski). Il faut remarquer toutefois que les conditions sociales et economiques de- favorables freinaient le developpement sCientifique en Russie. B. G. KOUZNETSOV (U.R.S.S.) L' EVOLUTION DE LA THtORIE DE I.' tLECTRICIT t DANS LA SCIENCE RUSSE DU XVIIIe SIECLE Les &apes principales de la theorie de l'electricite sont : la genese de l'electrostatique, puis celle de l'electrodynamique clas- sique et enfin, celle de l'electrodynamique quantique. Ces theories rapprochaient de plus en plus d'une image toujours plus generale et plus exacte de la realite. La creation d'une theorie plus gene- rale et plus exacte etait Hee chaque fois a une elaboration quanti- tative du probleme d'interaction entre les sources du champ et le champ lui-meme. C'est de ce point de vue qu'il faut apprecier l'apport des savants russes qui ont travaille dans le domaine de la theorie de l'electricite au xvine si?e. Au milieu du xvine si?e, le haut niveau de l'experimentation physique et chimique atteint en Russie et, en particulier, de son - 57 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 aspect quantitatif, dfl a l'apparition de nouvelles methodes, ainsi que l'essor general de la pensee theorique qui cherchait a creer une conception universelle du monde, ont abouti a des decouvertes et a de nouvelles conceptions, 'his importantes au point de vue indique. Parmi ces -decouvertes nommons celles de Richmann con- cernant les moyens de mesurer les forces electriques et ses obser- vations sur la luminescence des corps electrises ;, elles ont permis de differencier la notion de charge de celle de force electrique. La theorie de l'electricite atmospherique de Lomonosssov prenait pour point de depart les processus moleculaires pour expliquer la nature electrique des corps macroscopiques. Cette theorie etait done Hee a sa conception atomistique du monde. La theorie generale de l'electricite de Lomonossov consi- derait Pelectricite comme un mouvement specifique de l'ether. Euler voyait clans la pression de l'ether la nature de la charge electrique. Les memoires sur la nature de l'electricite envoyes de differents pays au concours de l'Academie des sciences de St. Pe- tersbourg en 1755 (us sont restes pour la plupart inedits et sont conserves dans les archives de l'Academie) caracterisent les idees physiques du milieu du xvin? si?e. Un pen plus tard Aepinus a Petersbourg avait cree de nouvel- les methodes d'analyse des phenomenes electriques. STAT 0. LEZHNEVA (U.R.S.S.) LE ROLE DES PHYSICIENS RUSSES DA.NSSTAT DEVELOPPEMENT DE L 'ELE CT RODYNAMI QUE DE MAXWELL Le plus grand probleme de l'electrodynamique an cours des =lees 70-80 du si?e dernier etait la realisation d'experiences prouvant les avantages de la theorie de Maxwell en comparaison avec les theories precedentes. Ces experiences pouvaient etre gee- trodynamiques (mise en evidence de l'influence des milieux inter- mediaries ainsi que la demonstration de l'existence des courants de cleplacement) ; mais la confirmation des resultats de la theorie electromagnetique de la lumiere fut la plus feconde et la plus persuasive. - 59 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Une partie considerable des preuves experimentales de la thectrie de Maxwell avant Hertz resulte des travaux des physiciens russes, notamment : la demonstration de la formule ii. =Vett pour les dielectriques solides (N. Schiller, 1875) et liquides (P. Zilov, 1877) ; la demonstration de l'impossibilite d'obtenir (les bouts du courant? (N. Schiller, 1875) ; la mise a jour du rapport existant entre l'induction electrodynamique et la nature magnetique du milieu (Zilov, 1877; I. Borgman, 1877). Les resultats obtenus par Schiller (1875) et R. Colley (1885) dans l'etude des vibrations electromagnetiques et, en particulier, dans l'elaboration de la theo- rie de la bobine de Ruhmkorff, etaient utilises par Hertz au cours de ses experiences. Les lettres echangees par les physiciens russes montrent le grand interet qu'ils accordaient a la theorie de Max- well: le meme interet se manifeste dans la suggestion de A. Stole- toy faite au Premier Congres des electriciens en 1881, d'organiser un travail collectif pour preciser la constation de Weber et Kohl- rausch que le rapport des deux unites d'intensite de courant est egal a la vitesse de la lumiere. Parmi les travaux theoretiques de cette periode ii faut men- tionner avant tout l'ouvrage fondamental de N. Oumov (Equa- tions du mouvement de Penergie dans les corps, (1872-1874). Pour la premiere fois on y trouve definie la notion du vecteur de la densite du flux d'energie. Cette definition est appliquable de meme a la propagation de l'energie du champ electromagne- tique. C'est pourquoi on a introduit le terme avecteur d'Oumov- PoyntingD. Lors du triomphe de la theorie de Maxwell une grande quan- tite de recherches ont ete realisees en Russie, dont les resultats les plus importants sont : l'invention du T.S.F. par A. Popov (1895) ; la preuve experimentale de l'existance de la pression de radiation de la lumiere et de l'identite de sa valeur avec celle qui fut predite par Maxwell (P. Lebedev, 1899-1900) ; l'elabora- tion de la theorie de l'effet rotatif de la lumiere prevue par Sadowsky (1894-1899) ; la determination experimentale des gran- deurs du champ magnetique des courants de conduction, de con- vection et de deplacement dans les essais d'Eichenwald (1903-04). 6o ? S TAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R Next 3 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT It Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 S. B. OBROUTCHEV (U.R.S.S.) LES COLONIES RUSSES DU SPITZBERG AU XV ? SIECLE L'auteur commente la lettre de Hieronymus Miinzer (Mone- tarius), medecin a Nurenberg, datee du 14 juillet 1493 et adressee au rol du Portugal Joao. Voici une phrase de cette lettre qui nous est parvenue en traduction portugaise an. debut du xvi? si?e. gJa te louuam por grande principe os alemaos, e jtalicos, e os rutanos, apolonios, scithos e os que moram debaixo da seca es- trella do polo artico : corn ho grande duque de moscaunia que, nam ha muytes annos, que debaixo da sequidade da dicta estrella foy nouamente sabida a grande Ilha de Grulanda, que corre por costa ccc leguoas, na qual ha grandissima habitacam de gente de dicto senhorio de dicto senhor duque.) Les historiens qui s'occupaient des problemes ayant trait a la decouverte de l'Amerique estimaient que cette phrase etait rela- tive a l'expedition norvego-portugaise au Groenland en 1476. L'auteur prouve que dans sa lettre M?nzer pane de la decou- verte du Spitzberg par les Russes. Les Pomors (population russe des cOtes de la Mer Blanche) ayant appris des Nonnands que ceux-ci avaient deja decouvert le Groenland au x? si?e, ont cru que l'archipel Spitzberg qu'ils decouvrirent au cours de leur navi- gation dans les mers boreales, etaient precisement le Groenland des Normands. Es l'appelarent donc (comme on le voit sur de nom- breux documents du XVIII? si?e) Gruland, Gruntlandia, Grunt- land, Grumant. Jusqu'au debut du xrx? si?e, sur les cartes anglaises et hollandaises le Spitzberg etait souvent denomme Groenland. M?nzer pouvait etre renseigne sur la decouverte du Spitzberg par les Russes, etant donne que les annees 1468-1493 etaient caracterisees par des rapports animes entre l'Etat russe, d'une part; l'Italie (avec laquelle M?nzer entretenait des relations etroites) et l'Empire des Habsbourg, d'autre part. Des ambassa- deurs russes venaient a Nuremberg. En etudiant les cartes des xv? et xvf siacles l'auteur est arrive a la conviction que les noms Grulanda, Gruntlands, Grutlands sont extremement rares et qu'on peut etablir une liason entre le groupe de cartes qui portent ces 70 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release noms et la lettre de M?nzer, on. sa carte publiee en 1493 dans !a (Chronica) Hartmann Schedel. Appuyee par le materiel fourni par les legendes des Pomors russes, la lettre de M?nzer prouve que d? au xv? si?e, c'est-a- dire ioo et quelques annees avant l'arrivee des Hollandais au Spitzberg, les Russes avaient decouvert cet archipel en y fondant des colonies pour la chasse aux phoques. EuGENIusz OLSZEWSKI LES PROBLEMES DE PERIODISATION DANS L'HISTOIRE DE LA SCIENCE ET DE LA TECHNIQUE 1. Dans l'histoire de la science et de la technique ii n'y a pas de dates precises marquant un tournant au cours duquel la situa- tion serait complatement changee et qui correspondraient aux dates de periodisation si nettement definies, comme les grandes revolutions, les chutes des etats ou les grandes guerres dans l'his- toire politique et sociale. 2. La periodisation de l'histoire des domaines respectifs de la science et de la technique peut etre differente de l'ensemble de l'histoire de la science et de la technique, il n'est pas obliga- toire que ces derniares se croisent avec la periodisation historique generale. 3. Pour etablir la periodisation de l'histoire de l'ensemble de la science il faut analyser et comparer la periodisation de ses branches respectives et la periodisation des facteurs tels que : le developpement general de la methodologie scientifique, le develop- pement des institutions scientifiques, le developpement des fac- teurs sociaux et politiques influant sur la science, etc. C'est d'une facon analogue qu'essayait d'etablir la periodisation de l'histoire de la technique f. Konfiedieratov dans son article: u1( voprosu o periodizacij istorii tiechniki, w (Woprosach istorii jestiestwozna- nija i tiechnikiD No 4, 1957. 4. On s'est servi de cette methode dans l'analyse d'essai 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 - Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R Next 1 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 B. D. PETROV (U.R.S.S.) vs" IBN SINA (AVICENNE), CHANON DE LIAISON ENTRE LA MEDICINE DE L'ORIENT ET CELLE DE L'OCCIDENT ET ETUDE DE SON LEGS SCIENT IFIQL E EN URSS Ii existe une opinion qu'Ibn Sina n'etait qu'un commentateur des anciens. Ce point de vue est faux. La contribution personnelle apportee par Ibn Sina aux sciences medicales dans la plupart de ses branches est considerable. Dans les idees medicales d'Ibn Sina, ainsi que. dans ses me- thodes de traitement, on apergoit l'influence des systemes indous, chinois et des pays de l'Asie Centrale. Ibn Sina connaissait parfaitement la medecine d'Hippocrate, de Galien et de leurs adeptes. 76 - Le role de la medecine avicenienne est considerable en taut que chainon de liaison entre la science medicale orientale et occi- dentale. Le legs scientifique de Ibn Sina est tres etudie en URSS ; en plus du (Canon de la Medecines, son encyclopedie des scien- ces philosophiques aDanich-Name, (Livre du Savoir) fut traduit en russe ; nombreux sont les travaux et monographies, articles et theses qui ont ete publies sur la contribution apportee par Ibn Sina a la medecine, aux sciences naturelles, A la psychologie et aux autres branches scientifiques. En 1957 a Houkhara, ville natale de Ibn Sina, s'est tenue une conference consacree A l'etude de son legs scientifique, au cours de laquelle plusieures dizaines de communications ont ete faites. JERzv PIASKOWSKI (Pologne) LES METHODES DE FABRICATION DES OUTILS ET D'..A,UTRES OBJECTS EN FER EN POLOGNE DEPUIS LES TEMPS LES PLUS ANCIENS JUSQU'AU XIV? SI?LE Les methodes metallographiques sont employees depuis assez longtemps A l'etude d'anciens objets en fer, mais le nombre des objects etudies a ete restreint et ne comptait en tout que quelques dizaines. Ce n'est que B. A. Kolczin en URSS qui a initie les recherches en masse d'anciens produits en fer. De pareilks re- cherches sont menees en Pologne. On emploie les observations metallographiques, des mesures de la microdurete de Hanemann et la durete ;Vickers, aussi que l'analyse qualitative (spectrogra- phique) et quantitative. Les essais embrassent la periode depuis le moment de l'ap- parition du fer en Pologne (vm? si?e a. C.) jusqu'au xive si?e p. C. On a etudie jusqu'ici 130 objets de 6o localites de la periode de Halstatt (v1110-rv? si?e a. C.}, 23 objets de 9 lo- calites de la periode La Tene (Ive-o si?e a. C.), 93 objets de 13 localites de la periode romaine (o-1v6 si?e p. C.), ainsi -77 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 ?s, que 324 objets de 7 localites du debut du Moyen-fige (ix-xive si? cle p. C.). Quoique les recherches ne soient pas encore tenninees, on peut constater d? un development de la technique du fer et de l'acier en Pologne jusqu'au 'my si?e. Ii serait necessaire que les recherches metallographiques des produits anciens soient effectuees dans tons les pays. Les me- thodes d'essais doivent etre pareilles ; celui renderait facile la comparaison et la generalisations des resultats. L. S. POLAR (U.R.S.S.) liZatealiabla THE DEVELOPMENT OF ANALYTICAL MECHANICS IN THE -WORKS OF M. V. OSTROGRADSKY Analytical mechanics in the Hamilton-Jacobi form rose in the 1830's and 40's on the basis of the analytical mechanics of Lagrange, which summed up the developments of mechanics in the 17th and i8th centuries. The new form of analytical mechanics was begun in 1834-33 in Hamilton's works, and then the basic propositions of this aspect of analytical mechanics were developed in several works by Jacobi in the late 1830's and 40's. The Ha- milton-Jacobi form originally appeared in a limited particular form, as often happens in science, and only with the passing of time did it achiewe the degree of generalization inherent in its inner meaning. - 79 STAT STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 The development and generalization of this form of analytical mechanics was achieved by a number of scientists of the second half of the i9th century; important among them was M. V. Os- trogradsky, whose fundamental research provided a generalization of several pivotal problems of Hamilton-Jacobi mechanics. The variational principle formulated by Hamilton only for conservative systems was generalized by Ostrogradsky to include the systems of potentials and connections depending on time, and in this general form is justly called the Hamilton-Ostrogradsky principle. It was Ostrogradsky who demonstrated the mathematical as- sence of the Hamilton-Ostrogradsky principle as an particular case of a general problem of variation calculus of to determine the extremum of a some functional. Finally, he demonstrated in the most general form that for any order of derivative, integral of Hamilton-Ostrogradsky prin- ciple is connected with the appropriate canonical system. These generalizations of Ostrogradsky's proved the basis for extensive application of the Hamilton-Ostrogradsky principle in investigating various problems of theoretical physics, primarily the problem of classical and quantum field theories. Ostrograd- sky's works published in French greatly influenced numerous scientists and were developed in their works, among them Cayley, Sludsky, Donkin, Appel, *Somov, Holder, and Bobylev. Ostro- gradsky's investigations were a basic stage in developing the ma- thematical formalism of the mechanics of variational principles, in its general form, which has found multifarious applications. T. PRZYPKOSWKI (Pologne) .....!Naoaasaa GENESE DU MONTAGE PARALLACTIOUE DE LA LUNETTE L'auteur presente trois gravures tirees du petit ouvrage peu connu de Charles Malaperte aAustriaca sidera heliocycliaa-Douai, 1633-qui illustrent une curieuse etape de transition dans la cons- truction du montage parallactique de la lunette a partir de tor- 6 - nprlassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 quetum moyenageux construit par le savant polonais en 1284. C'est aussi un constructeur polonais le jesuite Alexis Silvius qui construit a Charles Malaperte, jesuite travaillant a Kalisz en Po- logne dans les annees 1614-1618 les instruments pour l'observa- tion des taches solaires, par consequent leurs lunettes sont munies d'ecrans de projection et us devaient'etre construits encore avant le depart de Malaperte pour Douai en 1618 car la-bas ii ne se sert que du troisieme modele pour l'observation. Le premier ins- trument constitue la construction de torquetum appliquee a la projection lunetaire et illustre la genese parallactique du mon- tage de deuxieme instrument. Le troisieme, c'est le libre accro- chage au contrepoids tres repandu au XVII? et xvine siedes et represente ici pour la premiere fois.- Nous avons done affaire a une distincte forme genetique de transition de torquetum jus- qu'au au montage parallactique que construisent a Rome dans les annees 1624-1625 Scheiner et Grienberger ; cet instrument copie en 1721 popularise definitivement le montage qui semble etre si simplement et evidemment lie a la mecanique du ciel. MIECZYSLAW RADWAN (Pologne) LA TECHNIQUE SIDERURGIQUE DANS LE TERRITOIRE DE LA POLOGNE DANS LA PERIODE DES INFLUENCES ROMAINES (I-IV SI?LE DE NOTRE ERE) Les recherches archeologiques conduites dans le territoire des Montagnes Swietokrzyskie en Pologne depuis trois ans, sont on train de decouvrir un centre de production siderurgique, datant de la premiere moitie de notre ere, d'une grande importance. Cette production, d'une intensite remarquable, travaillait hors de doute pour l'exportation dans des territoires pint& lointains. La reduction du minerai se passait dans des fours, enfonces dans le terrain, d'un diametre de 35-55 cm et d'une profondeur de presqu'autant, sans traces de souffiage quelconque. Les fours n'etaient destines que pour une seule coulee. Le groupement des 82 ? fours dans chaque endroit etait tres caracteristique : ii fais ait deux bandes a trois ou quatre fours dans chaque rang, pour des coulees consecutives. Les recherches ainsi que les coulees d'essai, faites par les travailleurs de l'Academie des Mines et de Metallurgie de Cra- covie, ont demontre la probabilite de l'emploi d'un souffiage d'en- haut a l'aire de soufflets ou d'eventails, sans recours a des tnye- res, que l'on n'a pas trouve dans le terrain. Le rendement en metal du minerai n'etait que bas et fluctuait pres !de 20% environ. Les essais permirent de fixer la localisation de temperatures dans le four. B. A. ROSENFELD (U.R.S.S.) 1400eAt2teted6Mfai GEOMETRISCHE TRANSFORMATIONEN IN DEN 1NERKEN LEONHARD EULER'S Es werden die geometrischen Werche Leonhard Euler's un- tersucht, die den geometrischen Transformationen gewidmet sind. Es wird gezeigt, class diese Werke eine Anwendung der fiir Euler charakteristischen allgemeinen Idee der funktionellen Ab- bangigkeit darstellen. Es wierd der Einfluss dieser Werke auf die Entwisklung der Geometrie im XIX Jahrhunderte aufgeklart als die Idee der geometrischen Transformation zur leitenden geo- metrischen Idee wurde. Im geometrischen Hauptwerke Euler's ? im zweiten Bande seiner aIntroductio in analysin infinitorump werden die Trans- formationen der Koordinaten in der Ebene und im Raumedie letz- tere mit Hilfe der ?Eulerschen Winkel? ? betrachtet. Mit Hilfe dieser Transformationen wird die Klassifikation der Linien und der Flachen zweiter Ordnung durchgefiihrt und zum erstenmal werden einige Arten der Flachen zweiter Ordnung ausgezeichnet. Bei der Untersuchung der Symmetrien der ebenen Kurven wird die Klassifikation der Bewegungen auf der Ebene durchgefiihrt. Auch werden ahnliche und affine Transformationen untersucht ; diese Transformationen werden auch in einzelnen Abhandlungen ? 33 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 untersucht; in diesen Abhandlungen werden die Satze vom Ahn- lichkeitszentrum, gEulerische Gerades und der Schiefsymmetrie bewies en. In den mechanischen Werken Euler's werden lie Drehungen im Raume untersucht. Die orthogonalen Matrizen welche hier unci bei der Einfiihrung Eulerscher Winkel notwendig sind, werden algebraisch untersucht. Ffir diese Matrizen wird eine Darstellung gefunden, welche gleichbedeutend der Quaternionen- darstellung ist. In den Werken iiber die orthogonalen Trajektorien werden konforme Transformationen auf der Ebene untersucht, f?r welche em n Ausdruck mit Hilfe der analytischen Funktionen der komplexen Veranderlichen gefunden wird. Die konformen Transformationen werden in den hartographischen Werken ange- wandt. Insbesondere werden die Kreistransformationen auf der Ebene und mit ihnen verbundene projektive Transformationen der Gerade betrachtet. Andere geometrische Werke Euler's ? fiber die Vielflachen, fiber die spharische Geometrie und Trigonometrie, fiber die innere Geometrie der Flachen haben eine wesentliche Rolle in der Schaf- fung der Topologie, der nicht-Euklidischen Geometrie, der Rie- mannschen Geometrie und der Theorie der kontinuierlichen Grup- pen gespielt. PAWEL RYBICKI (Poland) THE SOCIOLOGICAL STANDPOINT IN THE GENERAL HISTORY OF SCIENCE There is a necessity to apply the sociological point of view to the history of science, especially to the general history of science as such a viewpoint permits us to explain some changes -85 - Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT STAT STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 that occur in the intensity and trends in the excercise of science. The sociological standpoint may also be helpful in studying the synthetic conception of science development. It is easier to intro- duce the sociological viewpoint to the history of science by starting from comparatively simple conception of general sociology, than by transferring directly to the historical-scientific studies the abs- tract and not always clear theoretical conceptions of sociology of knowledge. As a starting point we take the conception of scientific acti- vity as a kind of special activity exercized by a comparatively small number of individuals or comparatively small groups. The following problems are concerned with such scientific activity : z. The problem of social conditions when scientific activity comes into existence and becomes a separate field of action. 2. The problem of men of science, especially their social origin, their belonging to a social class and their social position. The professionalization of scientific activity is also considered and its influence on the quantitative and qualitative development of science. 3. The problem of organizational forms of scientific activity, especially of two important forms that appear in the history of sciences : associations of men engaged in scientific activity and social institutions. 4. The problem of men of science and scientific institutions being dependent upon the higher social groups such as industrial organizations and the state. 5. The problem of social function that is exercised by scien- tific activity and the task of history of science may be to show the historical mutability of this function. In the history of science the sociological point of view is especially necessary with regard to those domains where the link between scientific activity and practice is clearly marked. In this connection we may stress the importance of sociological standpoint when such phenomenon as the development and growth of tech- nical sciences in modern and most recent times are studied. 86 - K. A. RYBNIKOV (U.R.S.S.) .wpsirxirttr*Prok ON WAYS OF FORMING FUNCTIONAL ANALYSES The task of deducing the ways the basic modern mathematical sciences were formed is considered one of the most pressing pro- blems in the history of mathematics. Its solution will provide a profounder understanding of the structure, role, and prospects of modern mathematics. At the same time, this method of research creates realistic conditions for analyzing the laws of development of mathematics during the last zoo to 150 years. The component parts of functional analysis are examined, and the sources of some of its ideas. Examples are given of the analogy, generalization, and transfer of conceptions and operations from one sphere of mathematics to another, accompanied with a process of deducing the general laws of mathematics. The totality of historical and mathematical problems is formulated, connected with the task of deducing the ways functional analysis was formed. A report is made of experience in complex solutions of this group of problems among the historians of mathematics at Moscow University. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 KAZIMIERZ SAWICKI (Poland) THE FIRST CHAIR OF GEODESY IN POLAND? (FUNDATIO PRO ORDINARIO GEOMETRIAE PROFESSORE A. D. 1631) The proper development of sciences, especially mathematical sciences takes its beginning in Poland with the foundation of the first university in Cracow in 1364. At the end fo the xv and the beginning of the xvi century this seat of learning is becoming known in Europe as the home of mathematical and astronomical sciences and we can see there a certain link connecting mathema- tical sciences with the necessities of life. 90 ? STAT Though no official lectures of geodesy are being held univer- sity professors were already publishing the first textbooks: in the middle of the xv century ? Geometria Regis (in Latin) and in 1566 The science of surveying (in Polish). The first chair of geodesy ? Fundatio pro ordinario Geo- metriae Professore ? came into existence in Cracow University in 1631 as a private foundation thanks to the care of professor Jan Brozek (Broscius), the famous Polish mathematician and Co- pernicus adherent. The program of the geodesy chair as provided in the founda- tion deed was (among the tasks of the chair are to establich the means for demarcation of grounds, the tracing of roads, the deter- mination of distances, the erection of fortifications and military machines, the construction of sundials, verification of weights and maesures and many others?. Exercises in land surveying were also provided for. Among?the authors of textbooks mentioned in the deed were: Franciscus Vieta, Adrianus Romanus (van Roomen) and Vil- lebrord Snellius (triangulation). Courses in geodesy took place as late as the end of the XVIII century till the downfall of Polish State in 1795. S. V. SHUKHARDIN THE CHIEF STAGES IN THE DEVELOPMENT OF MINE DRAINAGE This report follow man's through the centuries against water met in underground work in ore mines. The author divides the story of draining into four main stages. In the first stage, from the late paleolithic age to the i7th century, various simple means were created to fight under- ground waters, such as ladles, vessels made of hides, gates oper- ated by hand, animal, or water power, bucket chains Archimedes screws, etc. The second stage saw the introduction of piston pumps, which - 91 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12: CIA-RDP81-01043R004000220007-2 though they appeared in the i6th century, only received wide application in the early 17th century, and were used in the mining industry up to the beginning of the 20th century. The pumps were driven at first by water wheels, levers, and water column engines. The first steam engine introduced a new solution of the problem, and led to ground and underground pumps, as well as direct action pumps. From the beginning of the 20th century, the chief means of mine draining has become the centrifugal multi-wheel pump with an asynchronic electric motor drive. This report discusses the story of its invention, improvement, and introduction into mining practice. The last period in the development of draining is bound with the introduction of automatic pumps, the transfer to which was begun after last war. The author stresses the international character of the making of modern mine draining? means, with inventors, scientists, me- chanics, and practicians of many countries and nations contribut- ing, each according to his ability, to the problem of removing subterranean waters in ore mining. nrw Annroved for Release ? 50-Yr 6/12 CIA RDP81-01043R004000220007-2 STAT STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R Next 1 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 A. SINUS RUIZ (Esparia) LA FARMACIA MILITAR EN CATALURA DURANTE LA GUERRA DE LA INDEPENDENCIA La comunicaci6n, a que se refiere el presente resumen, estfi redactada sabre documentos que obran en el Archivo de la Corona de Arag6n, agrupados bajo el titulo Junta Superior de Cataluna. - Inventario de Fondos, Secc. Gracia y Justicia, Cajas nUms. 19, 29, 85, 117, 119, 122, 129 y 139. Pretende recoger para la Historia de la Farmacia militar en Espaiia ese period?, breve pero aciago, de la invasion napole6nica, al que los historiadores de la Farmacia no han prestado la aten- ciOn debida, que nosotros sepamos. Refieja tres momentos o fases, correspondientes a otros tantos Boticarios Mayores del Ejercito de Catalufia. Es la primera ? ju- lio de 18o8 a octubre de 1809 ? la de On Antonio Soriguera, quien, sintiendo desde un principio una honda preocupaciOn por la falta de farmaceuticos dentro y fuera del Ejercito, a causa de la guerra, logra verse autorizado por la Junta Superior del Princi- pado para presidir, en union de dos boticarios que el mismo podia nombrar y de un Escribano pUblico como secretario, el tribunal de examenes, al que acudieron algunos aspirantes al titulo de Licenciado, cuyos expedientes, ms o menos completos, se con- servan en el A.C.A. Tales examenes se ajustaban, esencialmente, a las Reales Ordenanzas de Farmacia, constaban de dos partes, te6rica y prfictica, y tenian lugar en la ciudad de Reus, en donde el Boticario Mayor habia instalado el Laboratorio del Real Ejer- cito. Desde el Cuartel General de Tarragona, y a peticiOn de la Junta Superior, Soriguera redact6 un plan de estudios de Farma- cia, claro y completo, que no se aparta de lo preceptuado en las Ordenanzas Reales. Consta de un preambulo y trece articulos, que incluimos en la comunicaciOn. Sucedele como Boticario Mayor ? diciembre de 1809 a di- ciembre de 1810 ? don Gaspar de Castro, cuyas funciones nunca rebasan lo especificamente militar y colabora con la Junta Superior en el establecimiento y vigilancia de las farmacias pertenecientes a los Hospitales de Campaiia. Estos eran, en 24 de agosto de 181o, 98- los de Granollers, Caldas, Tarrasa, Sabadell, San Feliu, Rens, Vilaseca, Valls, Cervera, Igualada, Montbuy, Riudoms, La Selva, Alcover, Botornell, Guisona, Manresa, San Ramon, Agramunt, Tarrega, Cardona, Berga y otros puntos de la montaiia. Aument6 su nfunero, segfin las necesidades lo exigian. El Ultimo Boticario Mayor ? abril de 1811 a noviembre de 1812 fue don Patricio Ortiz. Experiment6 las pruebas mos duras de la guerra, l hallarse presente en la toma de Tarragona por el invasor. Pudo salvar en la fragata aProserpinas el almacen general de medicinas, destinadas a los Hospitales del Ejercito, que llev6 al puerto de Villanueva. Este almacen fue luego trasbordado al navio ingles aInvencibles y de aqui a la fragata aNuestra Sefiora del Carmen*, en la rada de Arenys de Mar. Las circunstancias siempre adversas de la guerra le obligaron a llevar a cabo algunas reformas entre sus subordinados ? Ayu- dantes primeros y segundos, Ayudantes honorarios, Practicantes y Mozos de Farmacia, repartidos por los m?diversos rincones de Catalufia y, lo que es peor, a dejar sentir, mediante sanciones, el peso de su autoridad sabre la mayor parte de ellos, de sobras castigados ya por la miseria y el hambre, al no recibir desde hacia much? tiempo los sueldos que devengaban. A fines de 1812 desa- parecia, m?por el desastre economic? que por la guerra, el Cuerpo de Farmacia en el Ejercito de Cataluiia. BOLESLAW SKARZYNSKI (Poland) .1/4....ow.aouraaas THE POLISH MEDICAL PHILOSOPHY ON THE VERGE OF THE XIX AND XX CENTURY The peculiar political conditions that existed in the majority of Polish lands in the second half of the xrx century left no possi- bility to Polish physicians to do any scientific work in their own Polish centers. Only the large provincial hospitals situated in that part of Poland which was under Russian domination were able to play the role which under normal conditions is offered by university clinics. This was the cause why scientific activity -99 'rI.,cic.ri a rt - Sniti7dC AoiDroved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 ? CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 related to the Polish clinical medicine was concentrated in pro- vincial centers situated outside of Warsaw. Such a situation laid a peculiar mark on the development character of Polish medicine in Russian occupation zone at that time. Municipal and provincial hospitals enabled the physician to come in closer contact with problems of social medicine filar would be the case with university clinics, and the scanty financial condi- tions and unsatisfactory technical equipment of provincial centers directed scientific activity of prominent individuals to the sphere of theoretical research. The effect of collaboration of all these factors was the appearance of many theoretical papers by such physicians that were working on the theoretical foundations of biological and medicinal ideology, on the theory of medical diag- nosis, on the methodology of investigations at the sick-bed, on problems of medical ethics and deontology and on the physician's position in relation to the growing industrialization and to the occuring social changes. The period 1870-1910 may be considered to be the philosophical age Of Polish medicine. The most characteristic personality of that period was Wla- dyslaw Bieganski (1857-1911) a physician-practitioner in a small town Czestochowa. His monography aThe logic of medicine) in German translation found a lively echo among European phy- sicians, among those who were interested in the theoretical founda- tions of medicine. In a number of works, some of which were published also in German, Bieganski made an analysis of the application of theology and vitalism to medicine. He was also one of the first physicians in Europe to stand against the preponde- rance of cells pathology and for a complex conception of a sick organism. His works dealing with medical ethics are till now standard works for Polish physicians-practitioners. Another remarkable personality was Edmund Biernacki (1866.-1911), physician at a Warsaw municipal hospital whose work aThe substance and the limits of medical knowldge) and ?Prin- ciples of medical diagnosis) translated into German and Russian aroused a lively interest even beyond the circle of Polish phy- sicians. Beside these two most eminent Polish philosophers of meili- cine there were others who deserve a special mention, namely: H. Hoyer (1834-1906), Z. Kramsztyk (1848-1920) and H. Nus- baum (1849-1937) who in a number of papers raised the basic question concerning the theory of diagnosis, methodology and medical ethics. The strength of this philosophic movement among Polish physicians working under Russian occupation may be judged by the fact that they founded and brought into existence a special periodical ?Medical criticism) devoted not to the current medicine, but to the general problems concerning the theory of knowledge, ethics and sociology. In 1897 when the publication was atarted it was a pioneer of its kind as there was no other publication in Europe having similar character. It lasted eleven years and its contents are an invaluable source for a characteristic of philoso- phical ideology of Polish physicians of that time and of ideological controversies existing among them. The recovery of independence by Poland in 1918 an the uni- fication of the three occupation zones opened for Polish physicians new possibilities for normal scientific work. Its effect was however a weakening of creative power in the sphere of medical philosophy' in Poland, nevertheless the interwar period may be proud to have such workers as W. Szumowski, K. Wize and L. Fleck, which proceeded with the trends that dominated the end of the xix century. B. S. SOTIN (U.R.S.S.) ALEXANDER STEPANOVICH POPOV. HIS 100TH BIRTHDAY A noteworthy date in the cultural life of the Soviet people was marked this year, on March 16, the iooth birthday of the outstanding Russian scientist and inventor, professor of physics A. S. Popov. Alongside the Frenchman Branly, the Serbian Tesla, the Englishman Lodge, the Hindu Doze, the Italian Marconi, and the German Slabi, Popov is inseverably connected with the in- vention of the radio and its subsequent improvement. At a session of the Russian Physico-Chemical Society on May 7, 1895, Popov demonstrated his invention of a radio re- nor! cifitnri in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R Next 1 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 If MIECZYSLAW SUBOTOWICZ (Poland) ammasowiNg* THE EARLIEST PRINTED DESCRIPTION OF AN EXPERIMENT SHOWING THE EXISTENCE OF VACUUM PERFORMED BY VALERIANUS MAGNI IN WARSAW IN 1647 W. Magni, a monk of Italian origin spent in the first half of the XVII century about 3o years, though with interruptions, in Poland. He devoted many years of his life to experiments si- milar to those that about the same time were performed by Tor- ricelli in Italy. He started his experiments (1641, see below) with wooden tubes filled with water but obtaining no results he replac- ed wooden tubes with glass tubes and water with mercury. The first demonstration of a successful experiment took place before a large and distinguished audience at the Royal Castle in Warsaw in July, 1647. Magni gave an account of this experiment and its interpretation (though incorrect) in a treatise aDemonstratio ocu- laris...b, published in Warsaw in July, 1647 and in a supplemen- tary second part of aDemonstratio ocularisb, published in Sep- tember, 1647. This is the earliest treatise that appeared in print telling of an experiment that has proved the existence of vacuum. G. P. de Roberval representing a group of Parisian scolars (1647) accused Magni with plagiarism. This charge has been often reiterated by subsequent historians of science in papers that were published as late as the current century. It seems howerer that the charge of plagiarism is unfounded. Besides the arguments that came down from Magni himself (his aNarratio apologeticab) there are others indicating that Magni's experiment with mercury and water was performed quite independently from Torricelli and the French school (Pascal, Marsenne, Roberval, Descartes...). There is namely one argument based on a letter written by J. Brozek on September, 19th 1643 to St. Pudlowski (both were professors at the Cracow University), that is on an information coming net from Magni, showing that in all probability Magni became intere- sted in vacuum experiments with water or mercury as early as 1641 and at the latest in the beginning of 164.2, that is many months before similar experiments were performed by Torricelli. A number of controversial bibliographic questions connected - 107 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 :14'1 with Magni publications dealing with (experimental physics) have been cleared up an solved. References: M. Subotowiez, 3Najwczesniejsza drukowana rozprawa... W. Magniego...3 in (K,wartalink Historii Nauki i Teelinikii, vol. 1, 2949, in PoliSh. BOGDAN SUCHODOLSKI (Pologne) L'HISTOIRE DE LA SCIENCE ET LE PROBLEME DE L'UNITE ET DE LA DIVERSITE DE LA PENSEE Le rapport a en vue d'attirer l'attention sur le'fait que l'his- toire de la science doit etre etudiee de fagon a faire apparaitre l'unite et la diversite de la pensee scientifique. Le rapporteur rap- pelle differents essais de typologie de la pensee scientifique et con- sidare que l'on pourrait en admettre six varietes tout au moms a savoir : la pensee formelle, nomothetique, pragmatique, norma- tive, experimentale et comprehensive. En insistant sur la neces- site de caracteriser systematiquement et historiquement ces diffe- rentes formes de la pensee scientifique, le rapporteur souligne ega- lement les importants problames limites et notamment le fait que la pensee cognitive de l'home ne s'exprime pas seulement dans la science mais aussi dans la technique et dans l'art ainsi que dans la philosophie. Le probleme de la typologie de la pense scienti- fique est ainsi complete par le probleme de ses traits, communs a tons les types, par consequent specifiques pour la pensee scien- tifique en general et en opposition a la pensee philosophique, tech- nique et esthetique. L'histoire de la science tellement entremelee l'histoire de la philosophie, de la technique et de Part pourrait fournir de fres interessants materiaux pour resoudre les probla- mes de similarites et de divergences qui se manifestent entre les differents genres de la pensee cognitive de l'homme. Dans son expose le rapporteur insiste sur l'importance des recherches scien- tifiques dans le domaine de l'histoire de la science, consacrees aux problames de l'unite et de la diversite de la pense cognitive. IoS STANISLAW SZPILCZYNSKI (Pologne) LE LIVRE MEDICALUR DES PIASTS EG A BRZ E) ro.at.(siiiA,Ecsoi. A l'epoque de la Renaissance, la Silesie malgre ses efforts n'a Pu obtenir Supereiure et meme une ecole de medecine du type secoudaire (p. ex. un gymnase comme a Gdansk) lui man- quait, toutefois le niveau de la medicine dans de nombreux do- maines de cette science ne se laissait pas depasser par celui des autres pays d'Europe. On le doit aussi aux differentes circons- tan ces favorables?A l'aisance de la bourgeosie a un amour fres vif pour les etudes de la medicine, au collectionnement de livres scientifiques, etc. Ce dernier a contribue a la formation des collec- tions du type fres vane (familial, professionel, de gym' nase, de l'eglise, de la cour et d'autres encore). Parmi les plus riches collections qui ce sont conservees jusqu'a nos jours ii faut citer les deux bibliothaques ducales celle des Piasts de Legnica et celle de Brzeg. Parmi diverses branches de la science qui sont repre- sentees nous y trouvons aussi des livres medicaux. La collection de Brzeg reflate certains types de problames auxquels s'interes- saient les aempiristes) du xvme si?e: la biologie, la philosophie naturelle, la theosophie et la mystique, la science hermetique, les pratiques chimiques et alchimique. Par contre on y observe un manque total des oeuvres des maitres de l'Antiquite, des ouvrages d'anatomie du xve si?e, etc. Les conceptions gempiriques) de la collection des textes medicaux de Brzeg se rapprochent a celles de Paracelsus et de celles propagees par la confrerie Fratres Rosae Crucis fond& vers le milieu du xve et xvrie siecles. En faveur de cette supposition park la presence de nombreux imprimes an- ciens concernant l'organisation et l'activite de la dite confrerie. Il est bien probable que la cour des Piast a Brzeg attirait les sa- vants interesses a ce type de la science, toutefois il est aifficile d'etablir qui etait leur Coryphee et quels etaient les centres etran- gers avec lesquels us etaient en contact. -109 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 MucuLA? TEICH (Czechoslovakia) THE ROYAL BOHEMIAN SOCIETY OF SCIENCES AND THE BEGINNINGS OF SCIENTIFIC SURVEYS OF NATURAL RESOURCES IN BOHEMIA In Bohemia as in other countries the systematic investigation of nature began to be organised by scientific societies in the period of manufacture. En 1769 te Royal Bohemian Society of Sciences (RBSS) was established as an informal body and was changed into a public body in 1784. The central task which the RBSS embarked upon at the beginning of its activity was the preparation of a map of the natural wealth of Bohemia on the basics of an organised survey of the country. This was called forth by social and eco- nomic needs of a society intransition from feudalism to capitalism. The RBS,S launched prize essay competitions and organised ex- peditions for the purpose of surveying various areas of Bohemia. The members of the Society or people closely connected with it gave an impetus to Collecting data and the development of scien- tific investigation of the geographical position of various places in Bohemia (Stepling, Strnad, Gerstner, David) ; of the atmosphere (Stepling, Strnad, Gruber, J. Sternberg, Schrer) ; of rocks and minerals (BohiC, Zauschner, Born, Reus and others) ; of hydro- graphy (Stepling, Strnad, Gruber, Gerstner) ; of the flora and fauna (Boha.C, John and Josep Mayer, Prochaska and others). Closely connected with the general advance in science and technology was the development of theoretical thought. The ma- nysided Sternberg on the basis of his work in the iron industry relinquisced the doctrine of phlogistone and adopted the oxydation theory. I. Born laid the foundation for the development of evolu- tionary ideas in Bohemia. Also the geologist F. A. Reuss was basically an evolutionist, although he held neptunist views on the origin of rocks. The works of the famous physiologist Jiff Pro- chaska, a convinced believer in epigenesis, were evolutionary in their tendency. Materialist thought in natural science in Bohemia based on a mechanical conception of natural processes reaches it summit with Prochaska. The spreading of mechanical materialism was supported by the popularisation of Newton's works by the mathematicians and astronomers Stepling, Tesfinek and David. 110 - - Unfavourable social conditions and lack of scientific personnel were the cause of the failure of the RBSS to reach its aim and prepare the economic map of Bohemia. However, further develop- ment of capitalism needed the cooperation of science and technolo gy, especially highly qualified technicians, scientifically trained, who would be able to direct and improve production in the iron-, glass- and textile industry. Hence on the eve of the Industrial Revolution in 1806 on the suggestion of influential industrial circles the Polytechnical Institute of Prague, headed by F. J. Ger- stner one of Bohemia's foremost scientists, was established. The establishment of the Royal Bohemian Society of Sciences and the foundation of tte Polytechnical Institute are landmarks of the first stage of organised scientific and technological advance, basically. corresponding to the needs of the manufacture period of capitalist development in Bohemia. V. N. TERNOVSKY (U.R.S.S.) ((CANON DE LA MEDECINE* DE IBN SINA (AVICENNE). (APERcU HISTORIQUE A L'OCCASION DE L'EDITION DU (CANON* EN LANGUES RUSSE ET OUZBEK) Le aCanon de la medecines, encyclopedique des sciences me- dicales etTun des plus remarquables monuments de l'esprit scien- tifique fut ecrit par Ibn Sina vers l'an 1020. Ce vaste ouvrage en 5 volumes est un temoignage de l'epanouissement de la culture des peuples de la partie de l'Asie Moyenne. Par l'edition commen- tee du aCanonD en langues russe et ouzbek l'Institut des Etudes Orientales de l'Academie des Sciences de la RSS d'Ouzbekie est en train d'accomplir un enorme travail avec le concours des mem- bres de l'Academie des Sciences Medicales de l'U.R.S.S. 150 ans aprs sa parition, le eCanon D d'Ibn Sina fut connu en Europe grace a la traduction latine de Gerard de Cremone. Jusqu'a present une traduction complete comment& du cCanon, traduite en une lange vivante n'a pas ete realisee dans aucun pays du mond. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Co .y Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Le texte de base pour la traduction du (Canon, en russe et en ouzbek est fourni par le manuscrit arabe du xue si?e conserve a Leningrad a l'Institut des Etudes Orientales de l'Academie des Sciences de l'U.R.S.S. Probablement ii n'a jamais existe de portrait authentique d'Ibn Sina. C'est pour la premiere fois qu'une tentative a ete faite en U.R.S.S. de reconstituer le portrait d'Ibn Sina d'apras les donnees fournies par l'etude de son crane extrait de la tombe du savant. , ARMIN TESKE (Polen) ZUR ENTDECKUNG DER PHOTOPHORESE -OBER EINE ARBEIT VON L. J. BODASZEWSKI AUS DEM JAHRF. 1881 Eine friihe Beobachtung der Photophorese findet sich in L. J. Bodaszewskis Arbeit aus dem Jahre 1881. Die Arbeit ist bekannt und wiederholt zitiert worden, allerdings nicht wegen ihres Zusammenhanges mit der Photophorese, der bisher nicht bemerkt worden ist, sondern als erste Beobachtung der Brown- schen Bewegung in Gasen. Die Arbeit wird auf diesen Punkt hin untersucht, wobei einige in der Literatur verbreitete Ansichten (Millikan) berichtigt werden konnen. V. V. TIKHOMIROV (U.R.S.S.) RESEARCHES OF RUSSIAN GEOLOGISTS DURING THE FIRST HALF OF THE NINETEENTH CENTURY IN THE COUNTRIES OF THE EAST AND WEST Russian geological science, raised during the 18 century to a high level by the works of M. V. Lomonossov, S. P. Krashenin- nikov, P. S. Pallas, I. I. Lepekhin has received general recogni- tion both in Russia and abroad. 112 - During the first half of the nineteenth century Russian geolo- gist. carried out a number of important researches abroad. China was visited by A. I. Kovanko and E. P. Kovalevsky, who were the first to describe its coal deposits and their geological structure. Earlier (in 1837) Kqvalevsky was sent to Montenegro and Dalma- tia, where he studied geology and local mineral deposits. In 1846 he directed studies of Egyptian geologists, who were on practice in the Urals and a year later he was invited to Egypt, where in the upper reaches of the Nile he discovered new gold deposits. In the processes of researches Kovalevsky visited also an area un- trampled previously neither by Europeans nor Sudanese, found there rich goldplacers and organized their mining. Be published important data on the geology of the Nile basin and made interest- ing geographical discoveries. N. I. Voskoboinikov, invited by the Persian government, was the first European geologist who studied Northern Iran (in 1843- '844). He proposed a scheme of stratigraphic subdivision of local rocks, compiled the first geological map of this vast territory and discovered a number of new deposits of iron, copper, coal and marble. P. A. Tchikhachev worked in Turkey for a long time, having published an eight-volume monograph on the geology and geogra- phy of Middle Asia. In 1839-41 he compiled a geological map of the Apennine peninsula and suggested a new detailed division of Tertiary deposits of Italy and Southern France. P. P. Doroshin in 1848 studied deposits of building materials near Russian settlements in America and gold-bearing districts of California. K. I. Grewingk published the first summary on the geology of Northern America, compiled on the basis of materials supplied by Russian researchers. Beginning with the nineteenth century papers by Russian geologists began to appear in West-European editions, which promoted scientific relations between Russia and the countries of the East and West. 8 narlaccifiPrl in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 - 113 Declassified in Part - Sanitized Co .y Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 L. I, UVAROVA (U.R.S.S.) *.etgpt*A, DEVELOPMENT OF THE TECHNIQUES OF MECHANICAL ENERGY TRANSMISSION Most production processes employ transmission of mechanical energy. The means of transforming, distributing, and transmit- ting energy from a motive power have gone through a lengthy path of development and have always been important. In the period when man and animals were the primary mo- tive powers, transmission mechanisms and their elements made it possible to sum up, transform, and change the plane of action of effort. Wide application of the first mechanical motors, characte- ristic of the manufactory period, became possible thanks to trans- mission mechanisms, which transferred and transformed the form, direction, and speed of movement from a hydraulic wheel. Implement machinery at a distance from the stream received me- chanical energy from water wheels through transmission rods. When production machinery was introduced in industry to replace manual labor, and the steam engine became universal (the latter third of the r8th century), the task appeared of bringing large groups of implement machines into motion from a single powerful engine. It was solved through the use of transmission appliances. Transmission and the steam engine created a certain unity among the machines in each establishment, and were the technical means of concentrating industry. The centralized pro- duction of mechanical energy suitable for the 19th century was made possible through the use of wire rope, hydraulic, and pneu- matic appliances to transmit energy over distances. At the end of the last century, since the introduction of electric power in industry, two new practical and scientific problems arose, electric drive and power transmission over distances. The development of electric drives led to improved technolo- gical processes in industry. The strict regime requirements for implement machines were met by the introduction of new mechani- cal transmission drives which could regulate speeds. Mechanical modifiers, hydraulic and pneumatic transmissions, and electrical "4 ? , spped regulators are widely employed for automation in modern machine building. The following tendency can be seen in the development of drives through the centuries : technique developed from man's direct action on simple implements as a motive force, through a raniified system of transmission mechanisms between an engine ane a production machine, and is now ever more frequently chang- ing to direct action of the engine on the instrument. The return to the original scheme of action on the instrument came about on a new basis, that of electric power transmission over a distance, and the use of a secondary, that is, electric motor. STAT narlaccifiPrl in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 WALDEMAR voin (Pologne) LA RAISON ET L'EXPERIENCE DANS LES SCIENCES SOCIALES DE LA FIN DERENAISSANCE Dans le processus de la formation de l'attitude scientifique moderne un rale a ete joue non seulement par les representants des asciences, mais aussi par les representants des ihumanites) qui demandaient tres souvent de limiter la connaissance scientifique humaine ftu monde base sur l'experience et qui concevaient la 'Cache de la raison comme l'elaboration des sensations. zi8 STAT S'appuyant sur les enonciations directes des nombreux ecri- vains ainsi que sur l'analyse de leur methode scientifique l'auteur demontre la formation successive de l'attitude empiricorationaliste au XVI') si?e. Et quoique l'essence meme du rapport reciproque de la connaissance sensuelle et intellectuelle ne fut pas encore dominee et: l'empirisme de nombreux ecrivains ne depassait pas grobservationa de l'homme dans les livres l'on avait d? realise des efforts serieux dans le but de convaincre la pensee scholas- tique. Les germes de la formation des elements empiriques et ratio- nalistes apparaissent dans les oeuvres des ecrivains, des historiens et des humanistes si eminents comme : Erasme de Rotterdam, Johannes Turmair, Francesco Vettori, Niccolo Machiavelli, Mat- thias de Miechovia, Andreas Fricius Modrevius, Adamus Bursius, Jean Bodin et d'autres. Dans la conclusion l'auteur constate qu'il faudrait verifier I? la distinction entre sciences et humanites qui a partir du xvii? si?e forment souvent deux branches d'une meme recher- che, 20 conclusions concernant l'epistemologie de cette periode en completant les materiaux comparatifs du domaine des humanites. Et cela de nouveau nous permettrait d'etablir la variete des con- ceptions de el'experience, et de la (raison*. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R Next 3 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 ?4. ? ? - 3: Le role Jane par la Tunisie dans le passage -deal seienee -arabe a l'Occiderit latin : .1) p" botigtdirtin l'Africain ' et l'Ecole de 'Sa 1 b)- Le Hawi de Razi et: sa traduttion'lariire'. 4. L'oeuvre tunisienne et son influence stir' : ?4- a) La Science Occidentale "ouvraies laisiens kn. dies'dans les 'Universites eufopeennes 'au-MOyen-Age. 'bj -La Scielice de l'Orient. ? ? - - Le?nouireau *a-t't Upres l'independance. ? ? 'II Ziatt :intereSia-nt- 'de "ra'Ppeler ces- verites historiques a un "moment oil la jell-nesse ttinisienne, delaiss:ani'delibererhen't les spe- 'eUlatioris philosophiques, se lance :avec -avidite vers les carrieres .seientifiques, oil, esperons-le,-'elie se- niontrera digne de ses an- cetres du Moyen-Age et appbrIefi-un jOiiFsa contribution au pro- gres de la Science Mondiale. - ?= - ? A. P. YOUSCHKEVITCH (U.R.S.S.) ulivaosieS4112=0, ? qL'ALGEBRE OU LE CALCUL DE FINIS> DE LOBATCHEVSKI Le c?bre mathematicien russe N. I. Lobatchevski ne se bornait Pas a des recherches geometriques. Il a obtenu de nom- breux resultats remarquables dans l'analyse infinitesimale et dans ,l!algebre qui devinrent tout recemmeut l'objet de recherches his- torico-mathematiqUes speci'ales. En 1834 Lobatchevski avait pu- 'blie un coin's :volumineaux a .rusage des etudiants, (L'algebre on 'le ealcul de finis, qui contenait en particulier ses deeouvertes al- gebriques. L'algebre pour Lobatchevski c'est le dalcul general des quan- tites finies dans toute son etendue, mais dont le but principal reste la resolution des equations algebriques. Conime, Euler et Cauchy _ayant lui, Lobatchevski admet dans ce calcul l'emploi de developpements_ en series, quoique d'une maniere assez restreinte. SoulignonS deux traits caiacteristiques de l'algebre de Lobat- chevski: 10 la tendance marquee a la precisiOn logique des prin... ris cipes ; 2? l'interet preponslerant aux algorithmes numeriques a Pappreciation suffisamment exacte des approximations. Les Chap. 1-6 sont consacres a l'analyse detaillee et originale des quatre operations fondamentales (p. ex., la deduction de la commutativite de l'addition, la demonstration de l'univocite de la soustraction, la maniere de traiter les nombres negatifs). Lobat- chevski frayait la route a la creation des fondements solides d'a- rithmetique et d'algebre independamment d'Ohm, Peacock, Ha- milton et d'autres savants. Dans le Chap. 9 Lobatchevski, sans connaitre le memoire re- cent de Cauchy, introduit la definition du determinant maintenant usuelle. Dans le Chap. ro est exposee la solution en nombres entiers de certaines systemes lineaires d'equations diophantiennes qui fut plus tard proposee par Betti. II faut mentionner aussi la definition des fonctions logarithmiques, exponentielles et trigonometriques par les equations fonctionelles et les series infinies (Chap. 11-14). Le critere de convergence de Lobatchevski pour les series a termes positifs et decroissants y est pour la premiere fois employe. Dans le Chap. 17 on trouve le bref expose d'un methode d'ap- proximation valable pour toutes les racines complexes d'une equa- tion algebrique ? methode inventee presque en meme temps par Dandelin, Lobatchevski et Graeffe. V. P. ZOUBOV (U.R.S.S.) QUELQUES OBSERVATIONS SUR LES ORIGINES DE LA PHYSIQUE MATHEMA1 IOUE Les ecrits du xiye si?e consacres a ce qu'on avait l'habitude d'appeler alors des calculationes ant donne parfois lieu a parler d'un progres de la physique mathematique. Le principal inter& de ces calculations consiste cependant dans la formation de nou- veaux concepts mathematiques tels comme la notion d'un grandeur variable, des logarithmes, des exposants fractionnaires, etc. Quant au contenu physique de ces calculations, il ne nous autorise aucu- 9 npelassified in Part - Sanitized COPY Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 - 129 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 I nement a parler d'un progres veritable; ii s'agit plutOt d'une simple mathematisation des theses de la physique aristotelicienne traditionnelle. Les formules des calculateurs y son considerees comme une fin, non comme un debut de recherches, non comme une hypothese qui pose une serie de nouvelles questions A l'ex- perience. C'est ce qui distingue la regle mertonienne des recher- ches de Galilee; la meme diference separe la formule calorimetri- que (connue par les auteurs medievaux de gradibus medicinaruin) de la formule elaboree par les experimentateurs du xvue si?e. La veritable physique mathematique ne devint possible qu'avec le progres des mathematiques, et ce dernier ne devint possible qu'au moment quand les mathematiciens surent poser et resoudre d'une facon plus generale les problemes, dont on trouve les germes dans les (calculations* du me si?e, oil les formules mathema- tiques etaient encore pour ainsi dire soudees a la physique tradi- tionnelle et A l'analyse de cas speciaux au sein de cette derniere. A. A. ZVORYKINE L'HISTORIE DE LA TECHNIQUE EN TANT QUE SCIENCE ET BRANCHE D'ENSEIGNEMENT Ce sont les lois de la nature qui constituent la base objetive de la technique. Ayant penetre ces lois par la voie pratique, l'homme les applique et les utilise au moyen de la technique. Mais le profit tire des progres realises dans les sciences naturelles ne represente qu'un aspect de la technique. Son autre aspect impor- tant est la base sociale de son developpement. Ce n'e_st qu'en con- naissant les lois economiques de l'ordre social qui en fin de compte determine la conduite des hommes, qu'on peut savoir dans quel sens et A quel rythme se realise la nouvelle technique. Les conditions objectives n'amoindrissent en rien l'influence du facteur subjectif sur le developpement de la technique. Le role des grands createurs de la technique consiste dans he fait qu'en s'appuyant sur le progres de la science et de la technique de leur ?que, us elaborent des projets et donnent des solutions qui 130 ? repondent le mieux et le plus completement aux exigences de la production en ouvrant des perspectives nouvelles au developpement ulterieur de la science et de la technique. En principe, la tech- nique est internationale, comme la science; mais elle est ere& par les peuples separement. Chaque peuple, suivant les condi- tions historiques et autres, contribue au developpement de la technique mondiale. En partant de ce qui precede on peut dire que l'histoire de la technique est une science qui fait connaitre le developpement des moyens de travail dans le systeme de production sociale. Du point de vue des sciences naturelles, l'histoire de la technique doit montrer comment, perfectionnant ses outils, l'homme arrive A penetrer toujours davantage les lois de la nature en assurant une utilisation et une application plus large et plus poussee de la ma- tiere et de l'energie. Du point de vue social, l'histoire de la tech- nique doit mettre au jour les forces sociales en action, les condi- tions sociales et etonomiques qui poussent les developpement de la technique; elle doit en outre montrer l'incidence de la technique sur he developpement de la societe, decouvrir he role createur de grands techniciens des differents pays. Les representants les plus eminents de la culture, de la science et de la technique ont toujours insiste sur l'importance de l'ensei- gnement de l'histoire de la technique. En tant que branche d'en- seignement elle est appelee A elargir l'esprit des jeunes en leur montrant les lois du developpement de la technique et he triomphe du genie humain dans la lutte contre les forces de la nature. ? 131 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 R Next 1 Page(s) In Document Denied Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 STAT 7 ..? Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12: CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release . 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 HHCTHTYT OPFAHH3AII4H 3APABOOXPAHEHI4S1 14 14CTOPHH MEA141.114HbI HMEHH H. A. CEMAWKO MHHHCTEPCTBA 311PABOOXPAHEHH51 CCCP ; I. 3HAMEHATEIlbFiblE ,II,ATb1 1/ICTOP1/11/1 ME,L141/11_1,14Hbl HA 1958 ro,a CocTaBuTenu A. B. AJZHEBA, H. B. BEHTPOBA t ,...A .-? g_ FOCYSAPCTBEHHOE 113BATEJIbCTBO MEB141414HCKOFf JI4TEPATYPb1 MEJI,r143 ? 1958? MOCKBA Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release . 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12: CIA-RDP81-01043R004000220007-2 AHHOTAU,Hil B 6pounope coilpanu lo6n.rtennuo U 3namenareabnue ^ ucnoanntouniecn n 1958 roAy, lu ncropun OTetteCT13eH1108 ? 3apy6eNiillOn MCKHUHM4 yxa3anu ANU POIKAelniTI It CMePTH nuArnonumcn Aentqaen meAnunnu, m6naefinue AE014 cily6- aRKOKKHHA xpynnux Tpma no meAnunne H T. A. K noAan! animemy 60.461WHHCTIV ACT Aaeran KPOTKAR 6H6AHOrpK4MR, yxas.u.amor5n HCTO4HHKH, a xoTopux mom? natiry Ocyle noApodnue CEICACHHA 06 ymenou u coaxndu. OTAB.11 HCTOpHH NiejLHAHHIA MHCTHTyTa opralmaanutt aiipasooxpallenun H HCTOpHH MBAHLMHbI HMeHH H. A. Ce- matnxo MtnuicTepcTaa 3panooxpattentin CCCP no nimme- py npout.nbut JleT H3,11BeT otiepeanoil BbillyCK 3HaMeHaTenb- HbIX AaT HCTOpHH MBAHLT,HHEO. Bce ;taw npnaoiinTcn no noaomy npOCHM iniTaTenect npnc.naTb CBOH aamettamin, a Taxme nonce.namin oTax, xoTopme c.neayeT OTMeTHTb B noc,ne- Aponute roam, no apecy: MocKaa, B. HOBHHCKHri, nep., 6-a. 3an. OT,rteAom HCTOpHH MeAHLTAHM l'IHCTI4TyTa opraintaau,tm altpaBooxpanemn H HCTOpHH MBAHU,HHIal HMBHH H. A. Cemaunco B. ,11. IleTpos Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 HBAPb 7 mumps' ? 100 JleT CO ,II,1151 powlemin B aCH JI H 51 Mji b ii q a FPEBEH111,14KOBA (1858-1906), Biumoro spa- tia, Aemorpacim, ,aenTeam ale,zummicKOrt CTaTHCTIIKII B Poe- CHH, OaHOTO 113 Ttepsbtx aBTOpOB Ta6.tni11 cmerrnocTn. Coq.: ChIepTHOCTb B 12 ry6eplutsix EBponeficKort Poulin 3a 1896-1897 rr. no OTHeAbHblIII no.nant ii BoBpacram. cris, 1902. S UT.: BaClUllin Hamm rpe6e1uuncos. BeCTHHK 06W,eCTBelillOri ru- riteBbi, cyAe6Boil n npatcrwiecicofi l'Ite.allitItH61. 1914, 12, B pawlene pe- Aawropos. BynaToB 11. IlamBru B. cpe6etruumoBa. BeCTHI1K ne? Tep6yprcBoro Bpa4e6Boro o6uxecna B3a11MH0I1 nomouut, 1908, 17, 5-6. 13 sumapn ?50 JteT co Arm cmepTH Azexce e p a- cHMOBB q a rIOJIOTEBHOBA (1838-1908), B3Becmoro pyccicoro ,RepmaTo.nora. OAHH 113 nepBbtx noxaBan p0J1b nepenori CHCTeMbI B BO3HHKHOBeH1111 KOIKHbIX 3a6o.nena1ma trem H onpe,nann.n ,na.nbneffuniti nyTh paanwriin crrenecTeennort ,nepmaTo.nornn. Co,1LeficTe0Ba.1I 11.1apommy aHeiveHHIO B ripaK- THKy cneima.nn3nponamoro am6y.naToptioro 06CJIy/KHBallH51 KO)1(11131X H Befleptpteciutx6OJIbHbIX. 131IepBbIe B huwe BbICKa- 3a.11 It,IbICJIb 0 sneme6nom csoficree 3e.nenoci .11J1eCeHH (1872). Coq.: Outepo3 aprepBanbaon cBcTembt }talc npittnnia noc.neAosa- TeJlbH0r0 crpaAamm cep.gua. Ancc. am, 1867; RepmaTonorittieciate Hcc.neitoBamm, CrIB, 1886-1887, B 1-2; IIaTonormecBoe BuageBBe mneceBB. MeBBamiciadi Becrim, 1872, 34-35, 38-40, 45, 49-52. ri a B B C. T. A. F. Ilo.nore6BoB. JI., 1955; A in y p- K 0 B E. J. Bbutaiouutficsi pycciutil ytieHuil A: F. 110.110Te6HOB. M., 1953; ifi T e ft Hayx R. A. lipimpirreT oTeuecTBeinmix ytieHbIX B OTKpb1T1111 CB0fICTB BeneBoil nnecom BeCTHI1K BeHeponormi ii AeRmaTo.nonm, 1951, 3. 225 .neT co Ann poKnemin Kacnapa Opti,apitxa BOJIM3A (Caspar Wolff, 1733-1794), BbmaiouxerocH pyccicoro aicaottemma, amaToma 11 em6pBanora, oxioro 113 0C- HOB0110J10>ICHIIKOB ynenlin 0 pa3BHTHH opraimmon. YCTaHO- BHJI rIpHHII,R11 3m6pnona.nbnoro pa3enTnn opranoe 113 rhaell- tiaTba, JIHCTOBKII,BbIX CJI0eB, nem 3aJ10)1(HJI OCHOBbI 6)rayilIer0 }Nem' o BapooRbruteBbtx JII4CTKaX. OCHOBHaa 3acayra B. ? onposermemie ytteBBB o ripetimpumamm H Harmoe o60efloBa- 2 A. B. Amiena 5 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 site Teopsn 3n11rese3a, 113.noscessbie IIM B ero TpaKTaTe ?TeopHst aapoKztefflisi? (1759). ,Upyrite pa6oTbt nocsflutend TOI1HbIm aHaTomilliectuiM HCCJIe,goBaHI151M rmiuii cep,tma, ICJIeT4aTKI1 H Oco6oe sssmasse y,s.e.nsla Haynes's? cTpoe- Han ypo,ttos. Coq.: Teoptin aaponmemia. Flep. c Hem. noa, o6m. pea. E. H. Haa- .110BCKOCO. M., 1950; De formatione intestinorum observationes in ovis incubatis institutae. Novi commentarii Academiae imp. scientiarum Petropolitanae, 1768-1769, 12, 13. UT.: P a il K 0 13 B. E. flpeaulecTi3emmaii ,Lf.apanua B POCC1111. 1/13 ncropml pyccaoro CCTeCT1303HaH1151. R., 1956; 5 a axep .71. SI. HcTopasi 3ht6paonorim B POCC1111. M., 1955; Kirchhoff A. Caspar Friedrich Wolff. Sein Leben und seine Bedeutung far die Lehre von der orga- nischen Entwicklung. Jenaische Zeitschrift fiir Medizin und Naturwis- senschaft, 1868, 4. 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OAHH II Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 113 CO3,qaTel1eri ,neprsoil oTenecT3ennoi1, TK inaabinaemoil flit- poroacicoil Knaccacinixamm 11 nomemcnaTypbr 6o.ne3nefi. COK.: CT3THCTIIKa ABIOKBH1151 nace.rtemin n M0CKOBCK01-1 ry6epnnit B 1883-1897 rr. M., 1902; ,EIercnan C/sfepTHOCTb B MOCKOBCKOfi ry6ep- HUH n ee ymax B 1883-1897 rr. M., 1902. Jur.: Den) 14Banomiti 1(ypnnit (rIo noBoBy 45-Benin Bpage6no- cannrapnoil n naygno-o6uxecrBennoil Becrrenbnocrn) rumen 11 3I111- 1101110.30MB, 1931, 8-9. 5 p y m.71 n H c Ica Ii ,11. A. ii H o r i ii H E. .TI. F!. 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Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 tO H b 2 HIOHSI ? 10 JIeT CO AFISI cNtepm A.newcanApa 3,ayapAonn ti a PAY3PA (1871-1948), xpynnoro Co- BTCK0fO xnpypra H neltarora, co3AaTenH tieJLIOCTHO-AngeBOil xnpyprmi B CCCP. ASTOp mornx MeTO,E(OB macTinlecimx II Apyrnx tle.MOCTI-10-JingeBbIX onepawnl, Ha3BaHHI3IX ero MiMe- iteM (BoccTanomenne TopTaHH H Coq.: Ilepenomhz qemocreil. M., 1932; linacTimectote onepatum Ha .runte. M., 1943; MeT0Abi nnacrntiecHitx onepauHri. M., 1945. Jur.: pnopos H. H. AneHcaHHp 3.twapHoang Paysp. XHpyp- run, 1948, 10; MnxeabcoH H. M. B.ITHHHHe npoci). A. 3. Payspa it ero WHOM' Ha paw:time oretiecneHHoti tieztocnio-naaenoif xapyprila CromaTozorasi, 1949, 3; B e p i o itx ii ft A. E. )1(113Hb H TBOWleCT130 AneHcaluipa 3AyapAoHuga Payspa. 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Theodor Meynert. Arch. f. Psych. u. Nervenkr., 1892, 24, 1. 16 }nowt ? 50 .neT co Aim cmepn fl anTexe fi Mona Ocnnonn II a CMOJIEHCK01-0 (1854-1908), H3BeCT- Is HOTO pycoworo TurnemicTa H nonympinampa rannemnieciox 311aHHCi. ABTOp IMHOTOtHiCaelfliblX pa6oT HO pa3J1HtIHbIM npocam THTHeHbI H Boennoil cannTapim. Coq.: rfpoczeihuHe cnoco6b1 Hcc.nelkoHamin H ouiemu Ao6poxatie- CTI3eliHOCTII C'beCTMIX npurfacon, HaTIHTKOB, HosAyxa, it np. CHB, 1909; 06ute,u.ocrynHble rurlleHmecHHe cnoco6u Hcc.neA0Ba- MM. am 1890. Jur.: Ilawreneilmom OCHHOBIN CmoneRcHuil. NcypHan pyccHoro o6w,ecna oxpaHemm HapoHHoro warm, 1908, 6-7, ar.R. 14; Timm- Heaton OCHHOBilq Ch10.11CHCKIIII. BOeHHO-MCAHUMICKHil WypHan, 1908, KH. 222, monb. 16 1110H51? 100 JIeT CO AHH cmepm JI, )K OH a CHOY (John Snow, 1813-1858), anraniicxoro anuemno.nora, asTopa 3name1rwroro Tpawram0 xo.nepe. OTICpbIJI nym ne- pe,aatm xanepu, ywa3an Ha ?cm:nip) pan!) BOAbI 13 pacnpo- crpanemm 3TOTO 3a6ozenainin. 3a 30 JleT OTKpbITIIH xonepnoro 13H6pH0Ha yCTaHOBHJI, tITO 3apa)wenne xo.nepoti nponcxwmT qiepe3 poT, tITO no36yairreab xo.nepbi .mo}weT pa3- MHONtaMC51 H 'nip no crpywrype OH no,u,o6en mem. Cog.: On the mode of communication of cholera. London, 1855; Drainage and water supply in connexion with the public health. Med. Times a. Gaz., 1858, 1. Run: J. F. F. John Snow?Epidemiologist. Journ. hist. med., 1955, 4; Hare R. John Snow an the cholera epidemic of 1854. Med. world, 1955. 82, 2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 C-V 10 J1 b 24 HIOJIII ? 10 JleT CO A,H5I cep TH reo p r H H (I)e,a o- p o BHm a JIAHFA (1875-1948), BHAHoro coBeTcxoro KAHHHHucTa-TepaneBTa. OCH013HbIe Tpy0,b1 nocBstuieHbi BO- npocam cep,aelmo-cocyBucTorf naTo.nornll. IlpexnoxcH.n paa HOBbIX MeTOJI,OB HCCJIeROBamin H coman COBpemernipo KJIaCCIHPHKaIIHIO cepAetmo-cocymicTbix 3a6o.neBaHHfi. Pa3- pa6oTan psi.g oprammau,HoHHbtx meponpturrnii no npo(1)H- .nawritKe H .netteHmo runepTommecxori 6o.ne3HH. HimunaTop II opraHH3aTop o6Pbeitiniew5I 6OJ1bHHU C Cost.: fanepTommecaaa 6one3Hb. R., 1950; Bonpocia naTonormi aposoo6pauteaan n xainniKa cepaetiao-cocyancTux 6one3tien. 1936, 1. RUT CHHKOB A. JI. reoprial (De.n.opoBnq JlaHr. BeCTHAK meaatmacKax flap( CCCP, 1948, 5; 14 Jib II H C K B. B. 3aagemle pa6oT r. (b. B o6.nacTa naTonoraa ClICTeMbI xpoa3- o6pauleana. KaaantlecaaR meanalnia, 1954, 32, 1, Keapoe A. A. reopracr (Deaopoaaq Rale. (Denbainep ii aKyinepKa, 1952, 2 24 HIOJISI ?50 ..neT co AHH cmepTH A.n exceH A.n e- HcaHApoBHHa OCTPOYMOBA (1844-1908), Bhmaio- uterocH pyccxoro luntHHBucTa-TepaneBTa. Comax cHcTemy 4rIKIIII0HaJIbHbIX meTo,RoB HccJIeJl.oBaHrrn H pa3pa6oTan HO- 60JIe3Heil C ymeTom 06III2TO COCTOSI- HHH HepsHoil CHCTeMbI. OCHOBHOR ero 3aczyroll HBIIJI0Cb On- peAenemie peinatom.eil panH cpenbt B BO3HITKHOBeHHH 3a6o.neBaHnst H BH3IFfHH 60JI13110r0. Bnepebie AoKa3a.n mnanamtoe TipoHcxow,geme nepBoro ToHa cepxta, Ila.IIHtIlle B creincax KpOBeHOCHbIX coomoe cocy,gocyxtheatouttix co- cmop acump moil= HepBoB, yCTaH01314J1 Hesporemtbiff xapax- Tep OTeKOB H IIOTOOTAeJIeHHH. Co'.: 0 npoacxoacaealla nepaoro Tona cepaua. "(um, M., 1873, 06 mmepaaana aposeaocamx cocyaoa. MOCKOBCKIIII epatie6emil BeCTHHK, 1875, 16-17; 06 mthepaaulni noroamx )fcene3. Tam ace, 1876, 25; KaaaatiecKee Amin! 1893-1894 rr M., 1895. Sur.? r y Kacsiu A. r A A. OCTpoyMOD U m, KAHIIIIKO-TCOpeTH- ReCKHe D3rastAbt. M., 19,-0, 20 24 MASI ? 125 JIeT CO ABB pommeHHHIleTpa Hs 3.- H o xi a rIEPEME>KKO (1833-1894), acpyrntoro pyccxo- ro rHyro.nora, opraHH3aTopa iii nepBoro npocioeccopa xa(Pea- pbt nicranorim mettHullucxoro cpatcy.nbTera KHeBCKOTO yHH- BepcHTeTa. OTKpbIJI H oilman nenpamoe =mime WHBOTIIbIX IKJIeTOK. Yxa3a.n Ha p0J1b sulep MbIIIIetIHbDC BOJIOKOH flpl1 UX 1-I0soo6pa3oeami, 11oApo6Ho B3r111.II crpoeinie mino4n13a, ?micas civiummoilaamibie Bo3pacrinae HaMeHenHil ICJIeTOK Nce.ne3m H Cog.: 0 panaTan nortepetmononocaTux Mbill1et1HbIX BOAOKOP. 113 MbnneqIIux naep (y aaryuma). J1HCC. Coapememma mealmitaa, 1863, 1; 0 aenemill NalBOTHEIX itAeTOK. MeAtill.HHCKIIrl BeCTHIIK, 1878, 31; ygemie o }came. Ocaosamla K Harman) maxpooconatiecKoil axaToman tieaoaexa ii ACHBOTHI1X. nog pea. M. ,1:1. JlaaaoacKoro O. B. OBCHH- HIIKOBK. cris, 1887, T. 1. Sur.: Ilamsau ileTpa Heamentia Ilepemewico. Pyccaan me/manna, 1894, 7; KaaTana Ka ft-P LI )1( 0 B 10. H. II, H. Ilepemexoco. Ycnexa coapeNteanoil 6nonoraa, 1955, 40, 3/6. S. Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 7 BIYCT 4 aBrycra ? 150 JIT CO AIM poKaelnin 14 oran ti a PnTTepa 0111-10J1bI1EPA (Johann Oppolzer, 1808-1871), xpynHoro aBCTplIncxoro KJIHHinuicTa. 1/13BecTen CBOHNIII pa6oTam1I B o6.nacTu npnmenemst H nponarattAbi 0613eKTIIBHbIX meTo,tton ncc.nel_tonarnal (nepxyccnn ii aycxyab- Tamil) 6 Lumnixe snyTpetuntx 6o.ne3nen H Tpy,gaNIII B o6.7tacTit naTo.noriptecmil anaToAnni. coq.: JleHunn ttacrtiort flatworm( n reparnm. CIB., 1868-1874, T. 1-3. Jur.: Johan Oppolze r, spolutvuce prazske skoly vnitriiho lekaratvi. Casopis Lerarti deskych, 1952 (06 Onnanbuepe). B Schonbauer L. Das medizinische Wien. Wien, 1947. 14 asrycra ? 75 JreT co Ansi poKttemist IOCTHHa 10JIHaHOBIltla ,LI)KAHEJ11/1,a3E (1883-1950), xpyn- nor? conercmoro xnpypra. Awrop psma KaIIIITaJIbHbIX ticc.neAsonarnin B o6.nacTit na- TOJIOCHIT II xnpypriut panel-inn cepflua, xpyrnibtx cocyAon II opranos 61)mm-ion HOJIOCTII. Flo sonpocam .nettemst o)xoro- non Tpanmbi H oc.no)xnennil panennti rpy,Entoil KJIeTKI3, mita- crwlecxon If pexoncrpymitilton xnpyprm. Coq,: PaHht cepuua ii nx xitpypritttectcoe 3Hattemte. JL, 1927; 11.73CTIIKH KWH!! B POCCIIII II COBeTCKOM C0103e. M., 1945; BHOHXII3J1b- Hue anima orHecrpeabHoro nponcxoncuennn. M., 1948. Jur.: B p o g c K It ft A. O. lOcrim IOnnaHoHng 41}HaHemin3e (lc 11H- T11.11eT1110 co HHH cmeprn). Bpage6Hoe ue.tm, 1955, 3; 3 a 6.n y ic o B- C K 11 A A. M. n p. IOCTI1H I0.71113H01311,1 1.(HcaHenu1L3e. BeCTHIIK xnpyp- rim, 1950, 70, 6; .TI ornHoHa E. A. IO. IO. ,a5HaHeattu3e ? xilpypr- ?prat-lima-1.?p. CoHeTcHoe 3upaHooxpaHemte, 1953, 4 24 aerycra ? 50 .neT co AHH cmelyrn PIBaHa PONIa- H OS II q a TAPXAHOBA (Tapxinnumum) (1846-1908), BHAHOPO pyccxoro (1)113no.nora, nonyzapn3aTopa Bonpocos 6no.nornn me.anunnbt. BOJIbIII0fi nnTepec ripeAcTapannoT era HCCJIeA0BaHHH no Bonpocam 3.1IeKTp01:1)113110JI0rIIII. 3KCIle- piodefaa.riblio H3ytflfJI YIBJIeHHH CyMMaLljIil B nepstioil cncre- me. Onncaa HCHX0raJIbBaHHtleCKHfi pe4).nexc, o6pa3onainte 99 NCelItIHbIX MIrMeHTOB B opramisme WHBOTHbIX H qe.nosexa. TIOKa3an BO3MOSKHOCTb BOCCTaHOBJIeHMI yracatounix (1)ynx- o6ecxpos,nenuoro M{HBOTHOTO nyrem sBefietnist B opra- HH3M (Intsno.nortmecxoro pacTsopa. Emy npintaAnewaT pa6o- B 06JIaCTH Bo3pacrmori (1)H3H0JI0Tall H no usyqemnol 6no.nornqecxoro fi,encredist penTrenonbtx Cog.: c) cymmnpoaaHmt yttapos 110CTORHHOCO ii uHrtyHuttoHnoro TO- K013, naumoutnx na tlyscrHytoutitit HepH astrywHit. BOeHHO-Me.I01011HCK1111 wyptian, 1869, KH. XI, OM 2; 0 13JIIIHHIIM Tell.HOT131 it xonoua Ha Ilya- cmytouute Heimu, C111100011 II COJI0BHOCI M031' Heo6emcpcmneHHux If o6ecHpoHneHttbtx anrywetc. Alma um, 1871; 06 o6pa3oHamm )1(e.HK- H112C mirmetram B NCHBortioNt Tarte it palm nettetnt B 3TOM npouecce. BoeHno-mennumtcHli ypnan, 1875, Hit. CXXIV, 9, ()Tn. 2. Jur.: 3pacTaatt K. it CemeticHaH E. II. H. P. Tapx- H11111B10111. )KII3Hb, Harman it o6utecrneHHan ,HenTe.rIbHOCTb. T6unticit, 1953. 30 asrycra ? 100 JIT CO JIHR po=emisi HHKO JI a SI EropoBHa KYIIIEBA (1858-1941), stworo conevr- cxoro ma.nnpno.nora H o6atecTseimoro AesiTensi. 143BeCTeH Kai< xpynnuil opramsaTop ,6opb6ht c .manstpneil B no- BOJIIIthe; HUHUHaTOp CO3AaHRSI CapaTolICKOR mans:11million CTaHLIHH H oprant3aTop HUH maJuipxrimpix C'be3A0B. OAHH H3 ocnosaTe.nen CapaToscxoro ynneepcirreTa; B Tetiemle 20 JIeT npeAce,aaTeab CapaToBcKoro cininmo-meitmunicKoro o6utecTsa, peRaRrop NtypHaaa Kypnan mmrpo- 6no.nornn, srmaeNmoaormi ii nmmyno.nornn, 1934, 1. 5 Hon6pn ? 325 JIBT CO Juisi poKnemm BepHap 'I{ 0 PAMALIUMH14 (Bernardino Ramazzini, 1633--1714), BbI- ,aaiouterocq HTaJlbilHCK0r0 apama, OCHOB0110J10)KHHKa npocpec- CHOHajliiHOil PlIrHeHbI. 30 Co'.: De morbis artificum diatriba. Modena, 1700. J/ur.: T o m II Jill II C. BepnapAitito Pammuumit ? ?Tea npodleccuo- naabitofi ritritenbi (1633-1714). Bpaqe6uoe Aeno, 1928, 24; F pan M. Pamanuimit lox npocimnaicrux ii npo4riIrueHllCT. furitena II aniutemito- noritn, 1930, 2. 12 Rost6pst ? 125 iter co AIM poKttemtn A .n excan,rtpa flo (1)14pbea q a BOPO,II,PIHA (1833-1887), Bemixoro pyccxoro Homnoawropa, abmatoaterocn yitettoro-xummca, xpyn- nor? o6atecTaennoro AenTem, Bpaqa. OCHOBHble ,Harmble TpyAbt 110C13HIl1eHbI sonpocy myqemin nomtmepn3antm H Icomencamin aamernxtoa. Emy IlpHHaA.11e-HUIT npitopmeT B OTKpbITHH aJlb,11,0J1bH0f1 xouencatunt, a Taxwe noxyqemm nyTem cm-tTeaa nepaoro B 14CTOpH11 tirropoopramicecxoro coax-menus! ? tiTopncToro 6en3ona. 3ammancn aonpocamu (1)113110J1OrlitiecKa XHM1141 H pa3peweH4em catnrrapno-xnun- qecidix npo6.nem (co3,rcan npu6op A.Tut ico.rmirecTaennoro onpe- ,ttezeinnt MOIIBBHHbI a3oTomeTpu11ectuim enoco5om, santlima.ncn itocze/Lonaimem cpe,KTB). Coq.: 06 ananorim rimccimpnofi H MbIWbIIKOBOH KHCJIOT B XIIMINO- CKOM H TOKCIIKOJIONIIIOCKOM OTHOLLIOHHII. "(ACC. C115, 1858; 0 HOBOM cnoco6e onpeitenemin non B moqe. CIIB, 1875-. JUT.: 1'1 JI b II II M., Cer an E. Anexcaimp llopcimpbemiq Bopo- Amt. M., 1953; (I) nrypoacnit i H. A. it Coaonben 10. H. Anex- canap Hopcluipbesim Bopcuutn. M. ? JI., 1950. 13 non6psi ? 10 JICT CO RIM cmepTit A.aexcanApa BaCHJIbeBlitla BHUIHEBCKOF0 (1874-1948), Bbl- ,aalomerocq COBeTCK0r0 xlipypra, co3):LaTea1 Kpynnoil xupyp- rwlecxoft IIIKOJIbI. OCHOBHbIe TpyAbt nocBuueHbI pa3J11111HbIM Bonpocam xlipypran If Heilpoxitpypran. ABTOp opnrattanbino- ro meTo,rta mecTnoro 06e36o.inmainut npn onepawmx no cno- co6y nonartero 110BOKaHHOBOr0 miclumbrpaTa (1930). Paspa6ceraz }tarn-13710 Kointernuno 0 p0.1111 HepBH011 Tpalou- B BOOrlaJIHTBJ115110M .npouecce II coma.it Houbte MeT0,abI snettemin BOCIla.1111TellbHbIX upotteccoa, TH0f1HbIX pall H Tpaa- manmecxoro moKa. Coq.: MecTime o6e36onfmanne no meTony nonaygero innimmbTpara. Kaaanb, 1932; HOBOKallHOBbltit 6JI0K II maca5Ino-6anb3amnqeme aHTli- cennuot (COBMeCTHO c A. A. Bnumennum). M., 1948; Co6pamie Tpy- non. M., 1950, T. 1. H 0 B ii KOB r M. 35 neT narmort ii neaarormecsofi gen- TellbHOCTII A. B. BI1WHeBCK0r0. BeCTHHK ximyprint, 1934, T. 34, KH. 100, C6opmix Tpynon xnpyprnqecxofi KJIHHIIKII l'IFICTHTyTa KJIIlHuqecKofl II sxcnepnmenTaammil xupyprful AMH CCCP, nom:mammon 70-aenno co Ana pownemin .naypeaTa CTanimocoil npemfm, aaczysceimoro aenTean nayxn npoti. A. B Bitulliencnoro. M., 1946. 31 1 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 '11 13 H0516p51? 75 JIeT CO Ann omepTit ,E4 >ice mca M p o ri a CPIMCA (James Sims, 1813-1883), mamenirroro amepmancKoro rimexo.nora, ootatoro 113 OCHOBOHNIOHCHHKOB xtipypnintecKoil ITHeKO.TIOTHH. Oco6einto tranecTen onepatutn- Mli mogeno.noBbix enamel!' c npnmeneimem Ana IHBOB cepe6- pnnoil lip0BOJIOKH. ABTOp p5r.na riniexo.norintecKnx 1I}impy- mei-11'os H MeTO,LIOB onepannt, Haw:tam-tux ero iimenem. coq.: Kaliminecnne samencit no ximypriin manor. flep. c anra. no.a pen. E. Hannimona. M., 1871. Run: Hea ton C. E. The influence of J. Marion Sims on cology. Bull. New. 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H. f1eHl1flb1M ,HenpeTa o6 o6pa3oHaHHH CoseTa spane6Hux KoznerHil. 11 HI0J151 -40 JIeT CO 2J1151 no.Hrnacammi B. 14. neHHEbIM Ae- KpeTa o6 ynpemo?eHHH Hapworo KomHccapHaTa 3,Hpa- Booxpamemm. * * 800 JIeT CO AHH OCHOBa111151 BanoHaxoro yHaaepcHTera (1158). 450 JIeT CO AHSI ocHoHamm Ma,npufignoro yHmtepcHTeTa (1508). 400 JIT CO 2IH5I 011y6JIHKOBaHH5l TpaRTafra 0 allimoil rHrlleHe KopHapo (1658). 400 JIeT CO AHH 00H0BaH1151 14eHcKoro ylumepcHTeTa (1558). 250 JIeT CO AHH 011y6JIIIKOBaHlIFI Tpy,Ha TOJIJIMACKOTO mpana F. Byprama ?Institutionnes medicae? (1708). 200 JIT CO spemenm ru3e1eH1H B KJIHHIlKy cncTemaTHneciroro TepmomempHpouaHHH raeHom (1758). 175 .ner CO 2111.51 OCHOBaHH51 By,HaneurcKoro yfumepcwreTa (1783). 150 zeT co AHH OCHOBaF1H51 II1BeACKOTO MeA1111HHCKOTO 06- IlleCTBa (1808). 125 .ner CO A1151 ony6JmnoBaHHH TpYAa HemeHicoro tinnuo.nora H. Mio.n.nepa ?Yne6Hux HO 013HOJI0r1111? (1833). 125 JIT CO 1IH5I OCHOBaHH51 141 rpaACKO1 60J1bHHIThI B MO- aloe (1833). 125 ,neT co Amn Hbucoila .nepHoro Homepa ra3eTbr ?Apyr 3,apaHH51? (1833). 100 .neT co /urn OCHOBaHH51 MHCTI1TyTa ycosepmeHentoBaHHH ispanell npm Meamco-xiwyprHnedKoil aica,HemmH, HEme Boelmo-mexnunicHan axa,Hemkur HmeHH C. M. Kuposa (1858). 100 .neT co ,aHn ony6inix0saHH5j Tpy.Ha K.noAa BepHapa ?Kypc Cl/H3H0J10111H 11 HaTOJI0rH1 HepsHoil CHCTE5Mbr>> (1858). 100 JIT CO AH51 011y6.1111K0BaHM51 Tpy,ga P. BripxoHa ?Ile.n- mannpHaH IlaTOJI0tHH>> (1858). 36 100 AeT CO AH51 nponiexiemin JI. IlacTepom OT1bIT0B no onpo- sepicemmo camo3apommeHHH (1858). 100 ..neT co AHH nepHoro tiTeH1151 K1111111 ilapanua cr1po- ncxomclieHHe BIL/1010 B IIHHHeescnom o6mecTme B TIOH- A0He (1858). 100 JICT CO AH5I Hbucoaa nepHoro Homepa CMOCKOBCKOn iMeATI- LIHHCICOri ra3eTbt? (1858). 75 JIT CO AHH ony6.rum0ttaHHH Tpy,aa B. A. BeHa cAHaTo- MI151 nonepxHocTH ro.nommoro mo3ra ne.nosexa? (1883). 75 J1eT CO AH51 AOKJIaAa 14. H. Mermuncosa ?0 He.ne6abuc cHnax opraH1I3ma? (1883) Ha VII c?beme pyccxxx ecTemeoHenbrraTe.nert B 0,Hecce. 75 JT.eT CO AHH 0TKpb11.1151 J1. IlacTepom BaKU,HilbI 11pOTHB cH6Hpcitort 513BbI (1883). 75 JIeT CO A1151 OTKpbITH51 P. KOXONI B036yAHTeJ151 xo.nephi (1883). 75 JIeT CO AH51 OTKpbITI151 9. K.ne6com z1cjTepHilHoH 6a1.113.11- .11bI (1883). 50 ,neT co Juin HueAeHHH III. Many JAHanHocTunecnoll .peaK- HHH Ha Ty6epKyne3. 25 ReT co AHH AoK.naHa B. I-I. LLIamosa ?0 nepemsamm xposH OT Tpyna? Ha III BcepcpainicKom cbeme xHpyp- ma (1933). nprlaccifiPci in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 CIA-RDP81-01043R004000220007-2 HMEHHOR YKA3ATEJlb Ant,6pexT I'. A. (1878-1933) 34-35 Axyrita M. H. (1898-1948) 9-10 ScjicaIt SI. (1858-1937) 14 Bopo.am A. H. (1833-1887) 31 Bpaiir P. (1789-1858) 34 BpoyAtt B. K. (1783-1862) 18 Banewran r. r. (1810-1883) 16-47 Ileacjiant, K. 0. (1833-1890) 11 Bawaescatal A. B. (1874-1948) 31 BC/JIKOlillq H. M. (1858-1928) 33 Bo.114 K. CP. (1733-1794) 5-6 Faxtep X (1708-1777) 27-28 Faaab 0. H. (1758-1828) 10 Faitnyunoni IL B. (1875--1933) 7-8 renmanomm 3. FL (1884--1948) 30 FpatetaTitaara H. H. (1858-1917) 28 Fpe6eauxintos B. H. (1858-1906) 5 FyneBag B. C. (1867-1933) 24-25 Fyitao6int H. 17. (1860-1908) 25 ,aapxweatm 0. (1858-1925) 7 Amaxemt,a3e 10. 10. (1883-1950) 22 AOCIHIIKOB B. C. (1879-1948) 32-33 llama A. (1863-1943) 9 Ka6aintc H. )1(. (1757-1808) 16 Kanbmer A. (1863-1933) 28 1(oaa.nersclutri B. 0. (1842-1883) 15 Kyploaf II. H. (1858-1934) 11-12 38 icon.ntik F. (1858-1927) 28-29 l(payc 0. (1858-1936) 17 4pe B. (1864 --1943) 24 E4nolioli A. IL (1849-1908) 32 X)nneu FL E. (1858-1941) 23 araur I". 0. (1875-1948) 20 Max>. B 6pounope coOpanbt To6nzermble 11 3HaMeHaTe.11bIlbIe HaTbI 113 ncTopnn OTelieCTBeHHOrl H 3apy6miloil ncno.nnsnonniecn B 1059 r.; yKa3aHbI JLHH poxc,aemin 11 alepTH abulaioninxcn nenTexerf MeHHHHHbI, 1o6nnecnible .ami xpynnerfunix OTKpbITHC1, curpanumx p0J1b B pasint- inn MC,HHHHHbI, naTbr ony6.7nnconamin namnectunix Tpy,aos Fl CO3H3H1131 meanunacKnx K aaTam ynenbrx AaeTen Kpancan 6n6anorpacpun. Bce naTbt npnBoAnTen no HOBOMy mum. rIpocum nnTaTezell npncaarb C13011 aamenannn, a Taxxce noNcesannn o aTax, KoTopme cneAyeT OTMeTHTb B noo.ne- Ayknnne TOLIbI, no Lapecy: Mocima. Kyry3OBCKH1 npo- cneKT, 4. 3aa. OTHBROM HCTOpH11 MeHHHHHbI PIHCTHTyTa opramisaunn slipanooxpanelnin ii ncTopHu NIe11,11 1.111HbI IlMeHH H. A. CeMaII1KO B. R. ne-rpoB 1 * 311aNICIITa.1131114C AaTIA Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release @ 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 Declassified in Part - Sanitized Copy Approved for Release ? 50-Yr 2014/06/12 : CIA-RDP81-01043R004000220007-2 H BAPb 2 mumps; ? 100 .TIT co Aim po)K,Keintst (12 4iespa- J151? 25 Jter co 1&HH cAtepTH) 11 eT p a HHK oil a es riga ZHATPOrITOBA (1859-1934), Kpyrnioro cosercKoro rilniemicra, mincpo6rionora H 061.14eCTBeHHOTO Resrreasi, 3ac.nymcemioro Jlescre.nsi Hapai PC(10CP. PyKonoxin 0AeccKoci 6axTepHo.nonitiecKort craHumeil. Pa6oTaa MOCKOBCK011 catinTapHoil opratin3aami. OAIIH 113 ocHoBa- Te.neff rocwkapcnieHmoro HHCTHTyTa Hapomioro 3Apa- nooxpaHemin (1919). Coq.: 0 neo6xoxiimocrti nocTosuctioro cantrrapnoro nanaopa B BO- aonpormAtiom !lute. CIIB, 1889; Haqaablibdi xypc riintenbi Ansi cpe.a- Jinx yqe6iibuc aatte,xentifi. 4. 1-2. Knen, 1915. C 61 C n II A. H. 11 H. ilmaTporrroa. KAMM-Meng me- anxima, 1929, 7, 9; J1 io 6apcx11ii B. II. 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